Ce sabbat 2 brumaire, parmi les colonnes de nos confrères du Parisien, la mandataire du Partenariat envers les territoires et de la Délocalisation, Catherine Vautrin a chassé l’appréciation d’un accroissement de la redevance d’domicile.
C’est la fin d’une Afrique qui circulait depuis divergentes jours. Si sézigue reconnaît l’mesure de concéder “aux collectivités de mieux maîtriser leurs ressources“, Catherine Vautrin l’assure au Parisien : “il n’y aura pas de retour à la taxe d’habitation sur les résidences principales”.
Pour mention, cette dernière a été supprimée au 1er janvier 2023. Problème, accompagnant l’poste de l’Union nationale des propriétaires immobiliers (Unpi), hameau par Le Dauphiné Libéré, l’relâche de la redevance d’domicile a eu à cause portée de tasser(se) éclater la redevance humaine parmi de nombreuses communes et a produit la début d’une abondance de “taxes additionnelles”.
Vers une “participation”
Face à la promesse de consoler cette folie de argent, l’Association des maires de France (AMF) a offert la habillement en allant en allant d’une “contribution citoyenne au service public”.
Une devise qui semble passionner Catherine Vautrin, convaincue qu’il “faut réfléchir à une participation possible au fait de vivre dans la ville ou le village”.
“Je souhaite ouvrir une concertation avec les élus locaux début 2025, a-t-elle poursuivi. Nous avons une réflexion à l’échelle du pays, qui n’est pas encore arbitrée. C’est celle du lien de la participation de nos concitoyens à l’ensemble de l’usage de la ville. En tout état de cause, la France a déjà un taux de prélèvements obligatoires élevé et nous veillerons à ce qu’il n’augmente pas, mais plutôt à le réduire au fur et à mesure.”