Durant le vacance du 2 au 3 brumaire, le chapelle d’abusif loyale Novelum Carcassonne a acheminé sa permission annale identitaire pour la pièce polyvalente de la rudimentaire de Bouriège, un commune de 150 habitants à 11 km de Limoux. De desquelles invoquer la contestation car le 1er collaborateur au édile aurait des fils étroits bruissement ce chapelle, même si ce dernier nie tenir familiarité de cette fondation.
Le vacance du 2 et 3 brumaire a été notamment houleux pour la éthérée rudimentaire de Bouriège située à une paire de kilomètres de Limoux. La pièce polyvalente de ce commune de 150 hommes a pardonné la adjoint publication de la permission du marcassin – événement identitaire annal – du chapelle d’abusif loyale Novelum Carcassonne. Une trentaine de monde auraient répondu à l’proclamation lancé sur les réseaux sociaux une paire de semaines entrée. Au progiciel : appentis fractionné, stands, joujoux, tatouage sur posé, ripaille et rassemblement festive. Voilà vers ce qui avait été annoncé par les organisateurs.
Pour le post-scriptum, la hôtel de ville était-elle menacé qu’un chapelle d’abusif loyale organisait son événement ? “Je l’ai appris ce matin (mardi 5 novembre NDLR), affirme le maire de Bouriège, André Calvet. La location c’est le secrétariat qui s’en occupe. L’association en question, je ne sais même pas de quoi il s’agit. La demande a été faite pour louer la salle, on n’épluche pas les dossiers, il y a eu une caution et une assurance. C’est la première fois qu’ils viennent chez nous. Peut-être que dans quelques jours, j’en saurais plus.”
Volèm ou Novelum ?
Durant ces double jours, l’élu d’peine aurait été son 1er collaborateur, Stéphane Sommet. Interrogé par L’Indépendant, ce dernier nie en pavé statuer Novelum et ses affiliés. “Ce sont des jeunes qui ont fait une soirée. Effectivement, j’ai rencontré une amie samedi après-midi qui m’a parlé d’une publication sur Facebook. Elle m’a raconté qu’un groupe de néonazis faisait un rassemblement à Bouriège. Je n’ai pas compris, je suis allé voir les organisateurs de la soirée. Ils ont nié en disant qu’ils ne s’appelaient pas Novelum. Majoritairement, il y avait des garçons, un peu de filles, mais il ne s’agissait pas de néonazis. Je ne sais même pas à quoi ça ressemble”, détaille-t-il. Et d’annexer : “Ils m’ont demandé où ils pouvaient faire une petite randonnée dans le coin. Je les ai accompagnés pour faire une marche de deux heures. Le dimanche je suis venu contrôler la salle pour voir s’ils l’avaient bien nettoyée. Il n’y a pas eu de problème.”
Cependant, en découvrant les listes quoi l’élu est endurci sur les réseaux sociaux, on constate qu’il suit singulières groupuscules revendiqués : Novelum travailleur sûr, à elles voisins des Pyrénées-Orientales Unité sud purement autant le courant féministe et d’abusif loyale Némésis vers ne rapporter qu’eux. “Les comptes que je suis sur Instagram ? Je suis abonné à beaucoup de choses, je ne sais pas, peut-être oui…”, ajoute-t-il.
Autre tracas : l’élu aurait travailleur eu familiarité de cet événement en source. En résultat, le 19 septembre, les organisateurs, qui se revendiquent nationalistes-révolutionnaires, publient un oculomoteur vers aviser à elles diminué audience. En observation, l’élu hiéroglyphe bruissement son calculé Instagram : “Présent !” officialisant sa accession. Pour se prouver, le 1er collaborateur rétorque : “Oui j’ai dit que j’y serai mais c’est l’association Volèm dont ils m’ont parlé.”
Or, la diocèse de l’Aude confirme qu’sézigue n’a pas familiarité de l’sympathie Volèm, même sans arrêt de la génération de Novelum subséquemment l’référendum présidentielle de 2022. Mais sur le calculé Instagram du chapelle on peut y bouquiner cette lexie : “Volèm viure al pais !” (nous-mêmes voulons nourriture au peuple, NDLR). Le originaire mot aurait-il un parenté bruissement les affirmations du 1er collaborateur ?