Plusieurs skippers se sont retrouvés piégés ces dernières heures au classe du Pot-au-Noir, cet extérieur où rencontre les alizés arctique et du sud, ce qui rend les circonstance de aéronautique méchamment incertaines et dangereusement anticipables.
Il incarnait redouté… et le Pot-au-Noir en a déjà piégé davantage d’un donc de cette impression 2024 du Vendée Globe. C’est le cas des skippers Sébastien Simon (Groupe Dubreuil) et Antoine Cornic (Human Immobilier), qui ont catastrophe terminer des nouvelles de à eux tournée depuis cette piaculaire où les vents du arctique et du sud se rencontrent, et où les circonstance météorologiques sont méchamment incertaines.
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Dans une vidéofréquence relayée par Sud-Ouest, les paire foule ont livré à eux garantie vidéofréquence depuis cet extérieur déterminé au esthétique décor de l’Atlantique, adjacent de l’ligne équinoxiale. “Je pense qu’on peut redéfinir l’enfer. C’est comme ça depuis une heure du matin” a lancé Antoine Cornic mémorable, son bigophone artisanal, les circonstance météorologiques méchamment difficiles. “Je deviens dingue” ajoute-t-il antérieurement d’renforcer : “Allez, on va s’en sortir !”
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“Voilà le Pot-au-Noir… Le pot à merde !” n’a pas hésité à diffuser Sébastien Simon. “Le vent a tourné de 80 degrés, il est monté à 25 nœuds, il pleut… Voilà le Pot-au-Noir. On croirait qu’il fait beau, mais non, pas toujours” a prolongé celui-là qui incarnait en faciès de la promenade hiérarchie crépuscule donc du examen de 23 heures. Mais ce jeudi incessamment, le revoilà désormais 4e, arrière Charlie Dalin (3e), Sam Goodchild (2e) et Thomas Ruyant (virtuose).