Plusieurs banal ont exploité ce manigance eux-mêmes jours lorsque de assemblée de Ligue 1 et de Ligue 2, comme de énerver l’abandon des manèges. Un médiation d’rapporter une solide malveillance.
“Votre gestion enrage les tribunes. Merci la LFP”, “Gestion des droits TV”, “Augmentation du salaire des dirigeants”, “Sanctions collectives”, “Foot français en danger”… Les messages de antinomie se sont multipliés ce vendredi 8 et chahut 9 brumaire comme les tribunes de discordants stades de Ligue 1 et de Ligue 2. Au Red Star, à Lens plus à Angers, les supporters ont profité du rivalité de à elles peloton moyennant notifier à elles récrimination avec les dirigeants du foot métropolitain.
Plus que ces banderoles, qu’il n’est pas saugrenu d’dévisager comme les tribunes des stades de football en France, c’est la préparation de les construire en devant qui malédiction de l’vent. À tout jour, les supporters ont en portée exploité la même créer écho moyennant engager l’accaparement : flanquer des balles de tennis sur la regain. Des incidents qui ont à tout jour incité une abandon de la engagement, tantôt d’une oblongue longévité.
D’où vient cette spirituel de comportement ?
Malgré l’innovation qu’on à elles connaît, les supporters de Ligue 1 et Ligue 2 ne sont pas à l’début de cette aperçu amusante. Elle serait à construire au charge des supporters de l’peloton frisette d’Hull City, qui l’auraient eue il y a davantage de 20 ans, en 1998. Ils avaient cependant jeté des balles de tennis sur la regain de à elles arène comme de notifier à elles concurrence au associé du dancing, David Lloyd, un démodé équipier de tennis technicien, informé d’plonger ses revenus du dancing comme ses méconnaissables revenus. Une créer de préférence positif, vu que Lloyd avait mis Hull City en commercialisation certains semaines davantage tard.
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Le best-seller de cette comportement a derrière judaïque les supporters de Bundesliga (Allemagne), qui l’ont popularisée la époque dernière en l’utilisant moyennant crier parce que l’accès d’investisseurs étrangers au travailleur de la Ligue allemande de football (DFL). Peu de température derrière, icelle avait annoncé l’répit de ce essai libéralement fustigé. Une aboutissement qui a donné des idées aux supporters norvégiens de Lillestroem, lesquels le écusson de l’conciliation vidéocassette s’est surtout acte à défaut le “tennis ball protest” cet été.
Pourquoi les supporters métropolitain l’ont-ils utilisée ?
Entre fidèles TV, barreaux des manèges et interdictions de déplacements, de peuplé sujets irritent les supporters de Ligue 1 et de Ligue 2 depuis le avènement de la époque, et ils n’ont pas manqué de le agiter de façon tantôt virulente. Mais pour ces jets de balles de tennis, ils ont trouvé une créer davantage non-violent moyennant engager l’accaparement et entreprendre circuler des messages aux dirigeants du foot métropolitain. Cela a enclenché initialement de la époque sur les pelouses de Bastia plus de Lorient comme de modifier la dépêche barreaux des assemblée de Ligue 2 en semaine.
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Ce vendredi crépuscule, c’est la même excuse qui a poussé les supporters du Red Star à nommer des balles de tennis sur la regain lorsque du rivalité parce que Troyes (Ligue 2). Imités le demain par ceux-ci de Lens et d’Angers (Ligue 1), qui ont souhaité rapporter un récrimination somme avec la conduite de la LFP. “Pression sur les clubs”, “Commission de discipline”, “Votre gestion enrage les tribunes. Merci la LFP” a-t-on surtout pu dilapider au arène Bollaert.
Mais la feuille de la meilleure guidon revient aux supporters angevins, auteurs d’un distingué jeu de mots : “LFP, diffuseurs, voilà de quoi vous occuper pour vos prochaines idées à deux balles”. Parce que l’légèreté est la aménité du tourment, dit-on continuellement.