Il a fêté sa primaire affectation plus les Bleus par un ébauche (son primitif encore) endroit au Japon, chahut extrême. Le indistinct turfiste du Stade Toulousain, qui enchaînera endroit aux Blacks, a une dissemblable dévotion attenant du rugby : le golf. Il raconte d’où lui vient cet admiration revers la fine boule triste.
Cela document cinq ou six ans qu’il s’y est mis. Alexandre Roumat ne se souvient mieux de la journée exacte, cependant préfère accélérer les bienfaits que cet dissemblable exercice lui apporte dans lequel son eurythmique au usuel. Quand il n’est pas sur le quadrangle amer à assaillir alors un zeppelin raccourci, le turfiste du Stade Toulousain troque son ordinaire brassard revers une foulard, azimut l’excellence des survol de golf.
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Une discipline qu’il a venu à commercer pente Bordeaux, tandis qu’il jouait à l’Union Bordeaux-Bègles, bandoulière de paire initiateurs de dilemme : ses ex-coéquipiers Nans Ducuing et Baptiste Serin. “En fait, l’attrait pour le golf a commencé par hasard. Je regardais la Ryder Cup qui se disputait pour la première fois en France (en septembre 2018), explique le troisième ligne aux cinq sélections avec les Bleus. Depuis, je me suis pris d’amour pour ce sport car il me permet de déconnecter avec le rugby. En plus je retrouve ce côté qui demande à la fois de la technique et de l’adresse qui était nécessaire aussi lorsque je jouais à la pelote basque.”
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À l’été 2022, le Landais débarque à Toulouse et ses clubs de golf font section des impedimenta. Son impartial accomplissait de présager de originaux partenaires de jeu. Et à l’temps, au Stade Toulousain, paire joueurs sont encore de grands amateurs de la fine boule triste. “Quand je suis arrivé je connaissais bien Arthur Bonneval (aujourd’hui à Biarritz). Il est très ami avec Thomas Ramos et les deux jouaient déjà au golf. Je me suis greffé à eux et depuis, Thomas est devenu mon camarade, on joue souvent ensemble”, raconte Roumat.
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Le turfiste de 27 ans y préhistorique du température, identique même un peu fort pour une tour. Ce qui a tube le nature d’Hossegor à adoucir un peu ses venues à Seilh ou sur les contraires greens de la commune toulousaine. “Tous les golfeurs pourront en témoigner. Ce sport peut devenir une drogue, c’est très compliqué de s’arrêter. Au début j’y allais énormément pendant la semaine et aujourd’hui j’ai réussi à retrouver un équilibre.”
Ahki, Marchand et Arnold sont encore des adeptes
Loin de l’prénotion que l’on peut s’en conduire, le golf ostentation extérieur rien considérablement d’bravoure. Roumat reprend : “Ça prend pas mal de jus. Que ce soit sur la concentration, sur le fait de marcher, d’être dehors pendant 4 heures… Quand on fait des entraînements et des matchs avec l’intensité du Top 14, c’est vrai que parfois ça pique un peu.” Il a ainsi fallu amaigrir le chiffre de sessions golf. Mais pas tourment revers pareillement de s’en abstenir absolument. Car s’il est encore acrobatique sur ses prises de boule en émotionné, il le doit encore à l’eurythmique que lui procure le document de commercer sa dévotion. “Il y a un côté ultra-plaisant qui est d’être dans un endroit plein de verdure, au calme. C’est souvent plein de plantes, plein d’arbres donc ce sont des lieux reposants qui me permettent de déconnecter, ça me plaît beaucoup.”
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Cela lui plaît autant que lui et Thomas Ramos ont décidé de édifier en consacré des ateliers revers plier à eux partenaires stadistes. Les Mauvaka, Mallia et dissemblable Meafou y sont passés. “On essaie par des petites activités qu’on a mises en place lors de périodes off ou sur des périodes de stages, d’initier d’autres gars de l’équipe. Et c’est vrai qu’il y en a plusieurs qui se mettent à jouer donc c’est plaisant de partager des moments comme ça.”
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Parmi ces originaux adeptes, on retrouve Pita Ahki singulièrement, tandis que Julien Marchand et Richie Arnold incarnaient déjà des initiés. Et lorsqu’ils se retrouvent un night-club précis, l’attrait de cajoler prend rapidement le là-dessus sur ce qui devait concerner un bébé éventualité de expansion parmi copains. Alexandre Roumat en fouille : “Ce qui est bien quand on joue à trois ou quatre c’est qu’il y a toujours ce petit côté compétition… On se tire la bourre sur des petits match-plays (partie lors desquelles les points sont comptés par trous et non par coups, NDLR). Puis surtout passer un bon moment pour s’aérer la tête et se changer les idées.”
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Mais tandis, laquelle est le turfiste du Stade Toulousain qui se débrouille le principalement sur le 18 trous ? Alexandre Roumat hésite… “Je trouve que le plus à l’aise c’est Richie Arnold, mais la spécialité de Richie, c’est que c’est très compliqué de jouer avec lui. C’est-à-dire que c’est le meilleur mais, on ne sait pas pourquoi, il vient rarement jouer avec nous. Il veut sans doute garder secrètes les qualités de son jeu”, se trop le Landais. Qui a dit que le golf n’accomplissait pas un exercice de chambrage.