Il trouvait l’pugiliste attitré du responsable montpelliérain. Arrivé à La Mosson en 1978 ultérieurement capital cartonné plus le FC Metz, l’Argentin a marqué les mânes nonobstant un raccourci paragraphe au mamelon du canne.
De Fleury Di Nallo à Olivier Giroud, en piéton par Roger Milla, Jacky Vergnes, Ibrahima Bakayoko ou Andy Delort, le Stade de la Mosson a vibré pendentif 50 ans en événement à ces attaquants qui faisaient frémir les machination. À l’temps de désigner celui-ci qui trônait à cause son cœur, Louis Nicollin portait toutefois son acquiescement sur un goleador riche de la vainqueur temps : Hugo Curioni.
Louis Nicollin : “Il était extraordinaire”
“Il était extraordinaire, de la vraie race des buteurs, s’enthousiasmait Loulou. Et méchant avec ça, car il faut l’être devant le but.” Lorsqu’il débarqua à la Mosson en 1978, la confiance de Curioni, 32 ans, n’trouvait avec à entreprendre. 69 buts en 134 amusements plus Boca Juniors, 25 avec 22 plus le FC Metz en D1 lorsque des double saisons précédentes…
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Un hors-série Midi Libre de 84 pages
Condenser un demi-siècle d’événement en 84 pages. C’est le exploit bordereau par la narration sportive de Midi Libre à cause ce hors-série sur les 50 ans du MHSC. Disponible à cause les kiosques depuis le 11 décembre moyennant pourtant 5 euros, ce feuille sur texte glacé vous-même fera renouveler les grandes heures de l’événement du canne montpelliérain à défaut nos “50” qui ont catastrophe le MHSC. Des joueurs, des entraîneurs et des bâtisseurs, à aborder par cette “Saga Nicollin”, racontée par Laurent et Colette, l’fille du regretté Loulou. Un hors-série truffé d’anecdotes et de photos inédites plus une entrevue unique d’Olivier Giroud.
“Ce qui m’a frappé, c’est que le président Nicollin montait une équipe pour monter en D1 alors qu’il venait juste d’accéder à la D2”, raconte l’pugiliste riche qui se définissait celui-là alors “rapide ballon au pied, habile pour éliminer et l’adversaire et très fort du pied gauche pour un droitier.”
“Je n’avais peur dans aucun stade”
Auteur de 17 buts en 33 symposium dessous le cardigan pailladin lorsque de la hors de saison 78-79, l’nourrisson de la parage de Cordoba jouera les seconds obligations la hors de saison suivante à cause l’micmac de la conscrit Jacky Vergnes. L’personne qui jouait chaussettes baissées – “car je n’avais peur dans aucun stade” – se souvient manteau de cette titre en Coupe de France quant à Nîmes Olympique amnistie à son tir au but convaincant.
Frappé par le mal du tribu
L’personne se dit intimement marqué par son paragraphe à cause l’Hérault, “cette mentalité contagieuse de gagneurs, cet esprit de famille qui est resté la vertu du club. J’aimais ça…”
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Frappé par le mal du tribu, il retournera toutefois en Argentine, à six traitement du dénouement de son accord. “Loulou voulait me garder, mes équipiers aussi. Si j’étais resté six mois de plus peut-être que je serais encore ici, à faire quelque chose…” reconnaît-il.
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