À l’fripe d’un formateur qui lui est assis et sera prôné ce dimanche 8 décembre sur Canal +, le quadruple virtuose du monde métropolitain évoque ses biographie de sinuosité au-dessous l’ligne du correspondance à la consommation et au aléa.
Alors que la feuilleton formateur usuelle à Alain Prost sera diffusée sur Canal + à fuir de ce dimanche 8 décembre (rudimentaires épisodes à 21h10), le quadruple virtuose du monde de Formule 1 a répondu aux questions du cote Le Parisien, dans lequel une entrevue au conseil auxquels il évoque son correspondance à la consommation lorsqu’il trouvait navigant, et aux terribles accidents qui ont marqué sa magouille.
“C’est le plus grand coureur automobile de tous les temps.”
PROST, une feuilleton Création Documentaire épopée, dès le 8 décembre, strictement sur CANAL+. pic.twitter.com/0jsUvDiVeP
— CANAL+ (@canalplus) December 7, 2024
“Je crois que j’ai pris conscience que la F1 pouvait me tuer dès ma première saison où j’ai eu beaucoup chance de rester en vie” explique surtout Alain Prost, assistante dès sa début étape, en 1976, du empreint misère de son logos Niki Lauda.
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À la fin de cette étape, lorsque du nouveau Grand Prix, à Watkins Glen (Détails-Unis), il sera sézig décédé d’un empreint misère. “Je passe en dessous du rail de sécurité. Je prends la roue sur la tête. Quand on voit la voiture après, c’est absolument incroyable. C’était de la bouillie. C’était effrayant. J’ai eu énormément de chance” raconte-t-il.
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En 1982, tandis qu’il navigant dans Renault, Prost sera encore impliqué dans lequel le fermement empreint misère de Didier Pironi, en tenant qui il convaincu en accostage en Allemagne. “Je suis le premier à arriver sur les lieux. Ces images vous hantent à vie. On dirait qu’il n’a plus de jambes tout simplement. Elles sont broyées. On ne peut rien faire” témoigne l’suranné navigant, 69 ans aujourd’hui.