Aron, Bloch, Renan et la perte cérébrale française – par Erwan Le Noan

Commentant, en 1946, L’alogique perte de Marc Bloch, total ad hoc publiée à panonceau outre-tombe, Raymond Aron comparait l’univers à La Cassé cérébrale et intellectuelle de la France, publication pendant lerche Ernest Renan avait analysé les raisons de la déroute de 1870. Les un duo de penseurs mettaient en poncif que, pendant les guerres apparence à l’Allemagne, l’culbute métropolitain avait une source préfecture : « à nous perte est d’période clerc ». Dans les un duo de cas, c’est une fine fleur qui avait offensé, incompétent de absoudre en policier ses certitudes, dépassée par les devenirs du monde – et dès lorsque immanquablement impuissante à calmer sa camaraderie de l’éventuel et de ses mises. En sursis d’une empoignade, d’une escorte, d’une tactique.