Arts martiaux : de charmants cadeaux d’commémoratif revers le Muaythaï nîmois

Le night-club nîmois d’arts martiaux avait une paire de choses à consacrer : les championnats du monde amateurs de K1 à Milan, où il a aveuglé, et son trentième commémoratif…

Deux jeunes champions du monde et une paire de vice-champions : revers son 30e commémoratif, le Muaythaï nîmois, réalisé en 1994, est bénéfice de Milan et des championnats du monde amateurs WFBC de K1 (discipline limitrophe du kick-boxing) les accotoir chargés de cadeaux.

“Je suis très fier de ma team. Tous les week-ends, on parcourt la France, parfois l’Europe, on retourne d’ailleurs à Milan en février. Le travail est récompensé”, se réjouit Hassan Ramzi, le régir du night-club.

Noa Siad et Kamelia Ramdani titrés

Noa Siad, 16 ans, a été sacré gagnant du monde parmi la enduit des 60 kg, en remportant sa demi-finale en dix secondes (KO 1er reprise) et sa dénouement de élégante soigné.

“Un combat qui m’a fait sortir les larmes aux yeux, un pur régal”, confie Ramzi. Kamelia Ramdani (17 ans) est équitablement titrée en juniors, en 55 kg.

Dollani et Azizi vice-champions du monde

Les une paire de “anciens”, Armando Dollani (28 ans) et Qudratullah Azizi (23), se sont inclinés en dénouement et sont vice-champions du monde. Le liminaire, au night-club depuis huit ans, a combattu en 75 kg en sanda, un dérivé du K1 (puis projections de MMA). Une actualité et une fiasco avant à un Italien revers Dollani, qui fondé désormais une magouille professionnelle. Quant au assesseur, immigré afghan, il a aventurier son écusson universel 2023 en s’penchant parce que un épouvantable Égyptien.

Océane Geynet (14 ans), revers sa inauguration rivalité, et Hamza el Kouhiou (17 ans, 70 kg), qui avait enseigné le mort de son ancêtre la surveillance simplement qui est monté guerroyer revers lui, n’ont pas passé les demi-finales.

Hassan Ramzi, coupé et régir du night-club du Chemin-bas : “On a formé trois médecins et cinq ingénieurs”

La délégation nîmoise est revenue d’Italie revers consacrer ses champions parmi son suzeraineté du Chemin-bas, université Jean-Moulin, puis alors de 200 chérubins du Gard, de l’Hérault et du Vaucluse revers des assauts éducatifs. Et l’commémoratif du night-club, soutenu il y a trente ans par l’vieillot puncheur Moustapha Oumrani et Christian Panzani.

Hassan Ramzi vivait ensuite un érémitisme concurrent. Depuis, “on a formé (aux arts martiaux, NDLR) trois futurs médecins et cinq ingénieurs”, expresse Ramzi. Ça itou, ce sont de belles récompenses.