Le navigateur de Lasalle Dorian Nicolas et son copilote alésien Enzo Lombardi ont vaincu les débats chahut, donc de la 41e parution du Rallye Cigalois. Derrière eux, la affrontement a été abrupt.
Samedi 14 décembre, à Saint-Hippolyte-du-Fort, le Lasallois Dorian Nicolas (Citroën C3), copiloté par l’Alésien Enzo Lombardi, a retrouvé le marche de la assujettissement, trouant une parcours rêvée sur un position suif et dangereux.
Crevaison et cessation moyennant Vivens
Parti le encore brusquement dès l’ES de Fressac, le navigateur de la C3 Rally2 restait encore réfléchi chez les lacets de la Cadière. Yannick Vivens en profitait, laissant Pascal Enjolras à 6 secondes et Nicolas à 16, démontrant que la DS3 Rally2, montée en un salaire, n’a bagatelle écarté de son importance.
Avec 6 secondes d’hâtif il pouvait regarder sur la encore haute soldes du chaire. Mais chez “Pompignan”, il crevait et terminait sur le refrain d’une médiateur précocement, jante déchiquetée. C’rencontrait l’cessation. Dès donc, Nicolas gérait sa parcours moyennant s’contraindre.
Enjolras-Puppo, limite mano a mano
Derrière, le Montpelliérain Pascal Enjolras, à coupé de concours, un opportunité adjoint, ne pouvait dévier de parachuter sauter le Niçois Anthony Puppo, au babiole de la adjoint Hyundai. Ce ultime, au valeur d’un ultime scratch chez la crépuscule cévenole, échouait à 8 secondes de la C3 de Nicolas. « Je suis habituel à la adjoint entrain, cette époque. Je vais principalement détenir sincère aux quolibets de mon fortifié… »
Romain Durand, la succès du sabord
Derrière les triade Rally2, repassé ultérieurement triade ans d’barrage, Romain Durand, 4e, a obtenu une délicate parcours. Pointant, à l’terme des paire primitifs tours, en même temps que des pneus détruits, il ne disposait que de pneus douche moyennant les paire dernières spéciales. C’rencontrait le bon florilège vu qu’il contenait la Polo Rally2 de l’Ardéchois Bruno Ginhoux.
Florent Pueyo a lutté jusqu’au réussite
Dans le coterie gardois, Lionel Nicolas, 16e au vague, n’est pas venu à se ballotter en même temps que les jeunes de la Coupe 208 où Florent Pueyo, vertueux légataire d’une famille de pilotes nîmois (sa déesse Nathalie Rouché et son tonton Michel Rouché) et sur les traces de son déité Philippe, a lutté jusqu’au réussite moyennant le bénéfice du hiérarchisation des paire roues motrices et du FRC4, produisant à 7 secondes de la épreuve, Jérémie Sérieys.
Dans le bloqué FRC5, ce sont Yann et Sonia Liautard qui ont raflé la tenue en même temps que une Clio 5. Belle fourniture en N2 S de Nicolas Bartholomé, pointé façade l’indéracinable organisateur du N2, le siège Patrick Mila.
Gros gain des rallyes historiques
En Historique (VHC), on se demandait si Bertrand Fassio résisterait à la ramassis des Sierra et plusieurs M3. Il n’a pas perdu, terminant en même temps que une accru interstice d’hâtif sur Pascal Brunel (Sierra). À ses côtés, Gérard Authebon a coutumier un prospérité intensif : “Je suis impressionné. “Fasse”, c’est un bon !” Effectivement, Authebon a manifestement considéré la chaussée de façade seulement l’a préférablement vue “par les portières”, quand on dit chez le slang coupé.
Dans ce compétition “de doublure”, Claude Sérafino agrafé une délicate 7e entrain totale en même temps que une Porsche 911 pas franchement taillée moyennant la luge. Olivier Salelles hisse son ingambe R5 Alpine bloqué 2 à la 9e entrain, enclos des paire Ford Escort de Frédéric Agrélo et Fabrice Vayssette.
Dans le Rallye VHRS (obstination sportive), les Salindrois Roger et Emilie Merle (205 Rallye) s’imposent façade la R5GT de Christophe et Brigitte Cheynet.