Il y a un filiation alors une perte. D’tant à 19 ans. Battu à cause la protection de sa secteur WBF, fin brumaire à Lattes, Lucas Migotti a le fougue, l’soif et des population qui croient en lui, pile diviser de l’face à.
“Franchement, je vais mettre du temps à le digérer.” Deux semaines alors sa perte facette à l’Argentin José Acevedo, à cause la protection de sa secteur WBF intercontinentale, Lucas Migotti a mieux du mal à autopsier.
Entre les rounds, il se souvient s’idée dit que le affrontement existait en attirail de lui prévenir, face à que l’Argentin ne trouve l’échancrure pile un suspension de l’divisé au 10e et neuf reprise. “Je ne sais pas encore quoi dire, il a juste été meilleur. Il faut passer à autre chose, voir sur quoi travailler maintenant ; c’est une défaite qui va m’apporter. On va couper (pour les fêtes) pour revenir plus fort qu’avant.”
« Faire branler les choses »
La contrariété est pareillement longue dans son entraîneur, Daniel Barry qui a noué des rejeton spéciaux en tenant son poney. “Je savais au 9e qu’on gagnait, c’est d’autant plus rageant mais il a donné le maximum, je n’ai aucun reproche à lui faire. À nous à se poser les bonnes questions et à travailler, à se tourner vers de nouveaux objectifs”, en tenant le traité de crack de France en bordure de mire.
Travailler pile paraître encore costaud
“La vie continue !” sourit le responsable du Boxing Club Montpelliérain, Jérémy Orzechowski. “Avec Daniel, on avale notre rancœur, parce qu’en vrai, il y a le boxeur, qui a le potentiel et on sait qu’il peut y arriver et il y a le garçon et ça, c’est le plus qui fait qu’on a envie de l’aider, de le pousser, d’investir. On sait qu’il peut arriver au plus haut niveau. Je lui ai demandé : es-tu prêt à signer si on a un championnat du monde et que tu as 19 victoires, trois défaites ? Il m’a répondu oui. C’est ça l’ambition ! À l’époque, tout le monde s’affrontait, il n’y avait pas d’évitement. Aujourd’hui, les jeunes veulent tous présenter une carte “propre”, vont chercher des combats face à des boxeurs au palmarès plus “faible” pour ne compter que des succès. Ce n’est pas ça la boxe. Lucas a 19 ans, il a déjà eu la ceinture intercontinentale, il la défend, la perd mais contre un mec plusieurs fois champion d’Argentine, d’Amérique du Sud, qui a plus de 30 ans. Il s’est frotté au haut niveau. À partir de là, on va travailler pour revenir plus fort !”
Un enjeu sur l’filiation
Ancien pugiliste au BCM il y a une vingtaine d’années, Jérémy Orzechowski raconte pardon il a été confronté aux fiançailles et aux questions qui se posent lorsque on débute plus pardon caresser sa vie ? Pourquoi le animateur d’action qu’il est devenu, s’investit. “Je suis le profil parfait pour savoir ce dont il a besoin et ce qu’il faut mettre en place pour qu’il y ait des résultats. On a d’autres boxeurs aussi, comme Enzo Blanc, Matar Garcia…, et pour leur donner les moyens, il faut faire bouger les choses, faire des galas, leur donner les moyens de s’entraîner à l’extérieur. C’est un pari sur l’avenir. Et si on ne rentre pas dans les frais, l’aventure aura été belle !”