À Guzet, éthérée répit ariégeoise, les chutes de neige des derniers jours sont une atout quant à les professionnels, qui espèrent diligent économiser la bas-bleu partie quant à le détritus de la temps.
On s’est présenté à cause les épais pas du chasse-neige. Sur la piste de Guzet, un coriace parement triste habille depuis deux jours les reliefs du Couserans, rendant l’entrée à la répit un peu persécuter ce mercredi cerbère. Rien d’inaccessible quant à les habitués et les professionnels de la répit familiale, perchée à 1 400 mètres d’arête, qui se préparent à entrouvrir extraordinairement ce sabbat 14 et dimanche 15 décembre, antérieurement une échancrure continue quant à le détritus de la temps dès le sabbat 21 décembre.
Sur position, les petites mains s’affairent ainsi quant à concocter l’arrivage des rudimentaires vacanciers, des skieurs locaux plus quant à ce primordial vacance. Joël, 54 ans, s’utilisé à dévoiler à la pèle les 80 centimètres de pulvérisateur qui recouvrent les escaliers de la répit. Un instance qui n’en serait comme pas un quant à cet paroissien de Guzet, chargé de l’renommée du localité. “Depuis deux jours, tout le monde à le sourire ici. Vu tout ce qu’il est tombé, on aura de la neige pour toutes les vacances de Noël.”
À deux mètres, un couple de dameuses multiplient ardemment les allers-retours quant à concocter les pistes et raccourcir la neige frais. Un peu outrageusement frais quant à les motoneiges des pisteurs, qui se tanquent ici et là, appelant à l’assistanat les engins sur ténia quant à se dévoiler également la palot ne suffit comme. Eux pareillement sont pédibus cum jambis d’œuvre depuis le aleph de semaine. “Une grande quantité de neige peut fragiliser le manteau, le rendre instable. Il y a aussi eu beaucoup de vent avec du transport de neige. Donc nous avons effectué des tirs d’explosifs hier [mardi] pour prévenir les avalanches”, explique Safia, 33 ans, la cheffe adjointe des pistes qui vit sa quatrième temps à Guzet, chez les huit disparates pisteurs et artificiers de la répit. “Il faut sécuriser le domaine. Même quand il est fermé, il y a du monde qui y travaille.”
“Si nous avons 1 000 skieurs par jour, ça sera bien”
Du monde alerté à la avidité ensuite les fortes précipitations de ceux-ci jours. “En termes d’organisation, tous nos salariés étaient recrutés et devaient se tenir à disposition au mois de décembre. Ils étaient susceptibles de commencer à travailler à tout moment en cas de chutes de neige. S’il avait neigé un mètre fin novembre, on aurait même pu ouvrir début décembre”, souligne Jacques Murat, commandant mercatique des trio stations de la SavaSem (lesquels Guzet, les Monts d’Olmes et Ax-3-Domaines). “Actuellement, on fait le tour de tous les salariés pour savoir s’ils sont déjà sur place et s’ils peuvent commencer hier, aujourd’hui ou demain.”
Car même si les records de effronterie de la répit familiale de Guzet ne devraient pas débouler sabbat et dimanche, l’extase est diligent assuré. “On ne peut pas parler de gros chiffres d’affaires ce week-end mais on a déjà eu beaucoup d’appels, même avant l’annonce officielle de notre ouverture”, se réjouit Justine, complète de correspondance de Guzet. “On est sûr d’ouvrir au moins 4 remontées sur 12. […] Si nous avons 1 000 skieurs par jour, ça serait bien”, respect de son côté Sylvain, responsable subsidiaire d’épuisement de la répit couserannaise.
“L’hiver dernier, on avait même dû ouvrir la luge d’été”
Au-delà de la effronterie, ce primordial vacance doit pareillement condescendre de s’attester de la neige quant à les prochaines ponts. Si les remontées instinctifs sont mieux à l’apaisement ce mercredi, blanches de verglas, les canons à neige, involontairement les chutes naturelles, tournent à rempli climat. “Il faut profiter des vagues de froid pour produire. C’est une neige très qualitative qui est tombée, très dense. Le fait de la recouvrir de neige artificielle, va permettre de la conserver malgré le redoux”, traîneau Justine. “Ça nous assure une ouverture pendant les vacances de Noël. Ça fait deux saisons que nous n’avions pas réussi à ouvrir à cette période. L’hiver dernier, on avait même dû ouvrir la luge d’été.”