L’femme a témoigné de son invasion subie sabbat 7 décembre, à l’épilogue d’une duel parmi jeunes de la élégance des moins de 17 ans.
Huit jours d’suspension larvé de parturition, un crise crânien, conséquemment qu’une honnête écorchure à l’œil rustre. C’est pile ce déplorable balance que, sabbat 7 décembre, Samir Benhamida, innovateur au dancing de football de Rousson dans lequel le Gard, a quitté le palier où il venait d’faciliter à une duel de jeunes.
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Le ludisme opposait les moins de 17 ans de son dancing gardois à ceux-ci du Mas de Mingue, un segment de Nîmes, dans lequel le convenable du challenge de Dialectal 1. Sur le situation, les débats sont vifs. Mais la passage s’achève rien rassasié sur le classement de 1-1. C’est alors le blessure de pipeau suprême que la moment s’est grièvement envenimée, alors le racontent nos confrères de Midi Libre.
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“Je descends des tribunes et attends nos joueurs devant la porte des vestiaires, à l’extérieur du stade,” rembobine Samir Benhamida. “C’est à ce moment-là qu’un jeune de 25 ans environ m’interpelle, les poings serrés, déjà prêt à en découdre.” L’femme lui information de lénifier les mirettes, Samir Benhamida refuse.
C’est à ce moment-là que mon assaillant a donné le préexistant blessure […]. Je n’avais pas attendu que, sommet moi, une vingtaine d’êtres s’réalisaient massés. Ils m’ont gonflé à ce niveau et m’ont fidèlement lynché. J’ai été roué de blessures.”
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Samir Benhamida a plus bénéficié de l’nanti de un couple de dirigeants du dancing nîmois, qui l’ont arraché de cette moment. “Mes agresseurs sont des sauvages” lance-t-il aujourd’hui non rien dégoût et haine. “Ils ne respectent rien ni personne. C’est à l’image de la France d’aujourd’hui. C’est la loi du plus brutal qui prime.”