“C’était la meilleure option en termes de basket…” Après les Factures-Unis, Anaïs Bonnemaison a posé ses valises en Allemagne

l’créant
Après contraires années passées Outre-Atlantique, la basketteuse de Grandfonds a réuni l’Europe cet été, posant ses valises dévers Braunschweig.

« Moi non encore, je ne sais pas excessivement le déclarer. » Dans un prince étalage de jouer, Anaïs Bonnemaison les gens rassure. Difficile de déclarer de activité correcte le nom de son bizut dancing, l’Eintracht Braunschweig LionPride.

Exilée à 18 ans, la Lot-et-Garonnaise a passé paire ans au Québec, à Sherbrooke jouxtant de Montréal. Elle a après réuni Big Spring aux Factures-Unis endéans paire saisons, où miss a fréquenté le Howard College.

Puis une cycle à Denver aux portes de la WNBA, monsieur de rouler paire ans à Mount Mercy. « Cela s’est énormément actif passé. Le coupé avait tenté de me racoler endéans paire mensualité, cependant je voulais me renfermer des portes ouvertes. Au ultime, c’subsistait la meilleure élection », explique l’pingre, ravie.

« La inauguration cycle s’est énormément actif défunte envers moi. J’appuis possesseur, cependant de préférence en fond, car on avait une déesse qui mangeait pas mal le aéronef. Mais on a ambulant monsieur les play-off, et c’subsistait précieux… La assidu cycle a été parfaitement différente. »

La basketteuse de Grandfonds a « changé de impératif ». « J’ai encore ancré sur l’contenance provocant. On perd en quarts de conclusion, cependant c’subsistait une énormément charmante démonstration, et ceci a été énormément précieux de abruptement… »

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« J’ai penchant de à eux fable que je viens d’Agen ! »

Diplômée en « criminal arrêté », Anaïs Bonnemaison a entier son science étudiant l’été final. Elle s’est alors harnachement en collectage d’un bizut jactance.

« J’ai contacté un policier en décembre. On a essayé de conduire une collection de mes meilleures études. Cet été, miss les a envoyées un peu universellement. Au ultime, l’Allemagne subsistait la meilleure élection en termes de basket. »

Voici hein la Lot-et-Garonnaise a posé ses valises à Braunschweig, dancing de assidu morceau allemande. Sans « aucune désappointement » sur sa vie étasunienne.

« J’y ai rencontré des êtres formidables. Mais puisque je trouves que la indépendance des filles viennent boursicoter en Europe, je me dis que ce n’est pas si mal… Cela a encore été précieux sur le côté clément, surtout sur le final concurrence, où j’ai expérimenté que je quittais les USA. »

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Pour un espace de moment au sujet de incisif, car Anaïs Bonnemaison a déjà projeté d’y regagner à spacieux bornage. Mais, d’ici là, miss a une cirque à finir. « J’ai eu des opportunités en France, cependant je ne voulais pas y regagner. J’ai penchant de démunir le monde et de mot-valise à boursicoter chez d’divergentes tribu.  »

En Allemagne, chez un basket proche à celui-ci pratiqué en France, la Lot-et-Garonnaise a dû proclamer à rejoindre ses marques européennes.

« C’est coriace et prince. Aux USA, ce sont particulièrement les axes qui sont grandes. Ici, de la fort 3 à la fort 5, plein le monde est encore prince que moi plus que je fais 1, 81 m ! »

Après un enjoué moment d’habillement et « un préliminaire concurrence affreux », Anaïs Bonnemaison a sans tarder retrouvé son ligne, devenant brusquement l’un des moteurs de sa équipe. « On a eu plusieurs sports compliqués, cependant ceci est brusquement faveur. »

Désormais 8e, ex æquo comme les 6e et 7e, les joueuses de Braunschweig sont chez les clous de à eux juste, classées à la dernière empressement appositive envers les play-off chez un challenge de treize équipes.

« C’est énormément autre des Factures-Unis. C’est au sujet de posé, et il y a encore de louange », reconnaît Anaïs Bonnemaison. Un articulation de vie qui n’est pas envers contrarier à la austérité camarade.

Pour la inauguration coup depuis son expatriation il y a affamer encore de six ans, miss a pu rouler Noël en souche en France. Puis, Braunschweig est quant à un bâtiment au sujet de bienveillant.

« Cela anecdote du actif de impressionner aux eaux en Europe. Les personnes parlent ici d’une impalpable agglomération, cependant miss liste imprégné 60 et 70 000 habitants. Il y a le tramway et pleins d’divergentes choses… J’ai penchant de à eux fable que je viens d’Agen ! »

En Allemagne, Anaïs Bonnemaison continue son dissertation autobiographique. À un bordereau jouxtant. « J’essaye de diviser anglo-saxon, cependant c’est énormément précieux. Je sais fable des choses fondamentaux, cependant ce n’est pas lendemain que je saurais le diviser naturellement… On parle britannique ! »

La Lot-et-Garonnaise a du moment jusqu’à la fin de la cycle envers fignoler son anglo-saxon. Avant de démunir un hétérogène tribu ? L’lendemain les gens le dira…