La commissaire-enquêteur, en tarabiscoté de l’investigation autorisée, a émis un impression menaçant au canevas de variation des limites communales parmi Saint-Pierre-de-Rivière et Brassac.
C’est une sortie de clochers qui méchante depuis contigu d’un demi-siècle. La arrondissement de Brassac, qui s’étend des sommets du masse de Batail jusqu’à l’Arget, ne cesse de s’objecter aux tentatives de “spoliation” de sa proche Saint-Pierre-de-Rivière, qui souffre de l’mesquinerie de son division. Nouvellement, Véronique Rumeau, la juge de paix de Saint-Pierre-de-Rivière, avait émis sa assiduité de réviser les limites qui séparent sa arrondissement de celle-là de Brassac. Une dépêche expérimentation de redécoupage qui a incité l’ire de Laurence Degraves, la juge de paix de Brassac, et de ses administrés.
“C’est une poutinade de la mairie de Saint-Pierre-de-Rivière. Elle veut annexer des territoires qui ne lui appartiennent pas pour des raisons farfelues”, avait lancé un hôte de Brassac qui n’a pas hésité à commettre un similitude verso le combat russo-ukrainien. Face à ce réprimande, Simon Bertoux, le gouverneur de l’Ariège, avait homogène en octobre l’baie d’une investigation autorisée.
Un impression menaçant
Marie-Chantal Garreta, en tarabiscoté de ce liquette crépitant, vient de rétrocéder ses conclusions en conséquence contigu d’un paye d’enquête. “La commissaire-enquêteur émet un avis défavorable au projet de modification des limites communales entre Saint-Pierre-de-Rivière et Brassac tel que décrit dans le dossier”, peut-on anéantir comme le lien d’investigation.
Selon la commissaire-enquêteur, cependant les avantages que pourrait décrire un prochain redécoupage, les inconvénients pèseraient encore sur la agité. Ainsi, différents obstacles et faits de complexion à résilier le canevas ont été observés. “La commune de Saint-Pierre est devenue propriétaire de ces fonds librement et en connaissance de cause, acceptant par là même les avantages et les obligations liées à la propriété, qu’elle soit publique ou privée. Parmi ses obligations figurent la gestion et la conservation, y compris la résolution des problèmes de ces biens devenus de la compétence de la commune de Saint-Pierre-de-Rivière”, rappelle le lien.
“Ce n’est pas encore terminé”
Pour Marie-Chantal Garreta, en mieux d’empressé des impacts sur des dispositifs collectifs aux couple communes, à culture la représentation documentaire, le vivat…, cette variation des limites aurait comme une suite importante sur les cantons de Foix et du Val d’Ariège. Au accompli, 18 points ont été avancés moyennant motiver cet impression menaçant.
Si la authentification est appelée verso amollissement par l’choisie de la arrondissement de Brassac, Laurence Degraves préfère adoucir son emportement. “Ce n’est pas encore terminé, le dernier mot revient au préfet. Tant qu’il ne s’est pas prononcé, j’aurai toujours une réserve”, tonalité l’magistrat de Brassac. Avant d’redoubler : “Si jamais le préfet émet un avis favorable, nous irons devant le Conseil d’État”. Une processus prolixe et dispendieuse qui risquerait d’exalter les tensions parmi les couple communes.
“Ça va laisser des séquelles”
Mais, peu importe la authentification dénouement, ces velléités territoriales auront dignement sali les contraventions parmi les couple communes. “Cette histoire me fait mal au cœur. Lorsque nous avons créé ces services mutuels entre Brassac, Ganac et Saint-Pierre-de-Rivière, c’était pour amener de la vie et de la solidarité, pour le bien commun. Nous avons, par exemple, permis de sauver des écoles. Là, c’est juste une histoire d’ego. Et ça va laisser des séquelles”, jette un antédiluvien élu.
Pour quelques-uns Brassacois, la juge de paix de Saint-Pierre-de-Rivière a les mirettes mieux lourd que le tripe. “Elle ne penche qu’à grossir sa commune, elle est obsédée par ça. Quand on se veut être un élu responsable, il convient de maîtriser ses projets et ses ambitions, en regard des capacités dont on dispose et des moyens que l’on a”, tance un Brassacois.