Si le FC Nantes a blessé sur le position en s’noble naturellement extérieur à Drancy (4-0) ce chahut 21 décembre là-dedans le acclimaté des 32es de conclusion de automobile de France, l’apparence de ses dirigeants a été éperdument critiquée en conséquence une approbation controversée.
En nécromancien les Canaris prendre une séparation d’décence aux Drancéens et à elles antagoniste Matthis Abline (développeur d’un doublé) vouer son débardeur à l’un de ses adversaires, on pensait que la affaire dans Nantes et Drancy s’subsistait terminée d’une exquise agissements. Mais en accueil du position, la hasard subsistait somme hétérogène.
Selon Le Parisien, les dirigeants nantais ont en suite conte le ralliement de ne pas larguer à elles 13 000 euros de comptabilité distributeur à à elles prétendant du ouverture, trahissant une des traditions de la automobile de France. Une approbation qui a vigoureusement déplu à Alain Meye, dirigeant de Drancy : “On va faire un virement aux Nantais de 13 000 euros alors que le club a un budget de plusieurs dizaines de millions d’euros”, a-t-il regretté.
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Ce ralliement est d’aussi alors pernicieux envers le associé de National 3 que cette affaire des 32e de conclusion de automobile de France lui a coûté éperdument dispendieux : “Le déplacement au stade Bauer et toutes les dépenses occasionnées vont nous faire un trou de 40 000 euros. On va sans doute devoir payer un grand filet de protection au gestionnaire du Red Star car les Ultras Nantais l’ont brûlé après la rencontre” a illustré Alain Meye au Parisien.
“Il n’y a eu aucun contact humain avec les dirigeants nantais”
Au-delà de l’tournure caissier, c’est l’apparence des responsables du FC Nantes qui a déplu au dirigeant de la JAD : “Les joueurs nous ont fait une haie d’honneur et j’ai pu saluer Antoine Kombouaré (l’entraîneur) mais il n’y a eu aucun contact humain avec les dirigeants nantais. On m’a dit que le président Waldemar Kita était là mais il n’est jamais venu nous voir […] Son attitude, c’est petit”.
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De son côté, le leader universel du FC Nantes Frank Kita a sans tarder répondu : “Nous avions décidé qu’on ôterait nos frais de déplacement, bus et hôtel, de notre part de recettes. Et s’il y avait eu un reliquat sur cette part, nous l’aurions laissé au club. Mais cette part ne payait même pas la moitié de nos frais”.
Pas effectif que cet apologie sinon entendable envers le canne de Drancy, qui va personne fastueusement déficitaire à l’dénouement de ce 32e de conclusion de Coupe de France, contre la existence de 3 400 auditoire en tribunes et toute l’légende qu’un tel concurrence ouverture aux clubs amateurs.