Cransac. Le consul de la ville, signataire de la supplique “non aux exécutions en Iran”

Il y a un duo de semaines, à l’assurance du séance des maires de France revers un Iran démocratique (CMFID) et en affecte puis le séance de ossature aux facultés de l’serviable en Iran (CSDHI), des élus ont offert aux maires de France de conclure une supplique revers imputation “non aux exécutions” en Iran. Selon Amnesty International, l’Iran représenterait sien écarté les trio quarts de toutes les exécutions recensées pour le monde.

580 maires ont déjà signé cet signal dans lequel des noms beaucoup connus puisque Martine Aubry, Olivier Le Foll… uniquement donc des dizaines de maires “anonymes” qui ont souhaité s’retenir pour ce grand affaire et étayer ces Iraniens privés bassement de amitié.

Une stigmate qui se distingue

En trio salaire, ce sont 386 nation, plus des opposants politiques, qui ont été exécutés par le empire absolutiste du récent administrateur Iranien. Ce budget méphistophélique d’rejet des opposants “au nom de Dieu” a engrené puis l’rejet des Kurdes en 1979 et sarrau la scandaleuse facture de 30 000 prisonniers politiques en 1988. Et, ici puisque autre part, les résolutions des Nations Unies (70 !) n’ont muni à négatif.

En Aveyron, peu de signatures émargent sur cette supplique, 4/5 généralité au davantage… Se distingue purement celle-là du consul de Cransac, Bernard Canac, qui déclare “avoir spontanément signé cet appel tellement la situation en Iran est dramatique pour les opposants politiques au pouvoir. J’ai eu la chance de parcourir de nombreux pays du Moyen-Orient dans lesquels aujourd’hui les armes grondent. Je ne peux pas me résoudre à imaginer que ce magnifique pays, l’Iran, anciennement la Perse, puisse rester de nos jours sous le joug d’un intégrisme religieux totalitaire…”