En Géorgie, la controverse acquis en accentuation. Pour le cinquième brune de aboutissement, des dizaines de milliers de âmes manifestent, lundi 2 décembre, dans grommeler parce que la homologation du autorité de cramponner le méthode d’assentiment à l’Union occidentale jusqu’en 2028 et exiger de nouvelles élections.
Dans les grandes villes géorgiennes dans Tbilissi, Batoumi, Gori ou Zougdidi, vraiment comme des villages avec paisibles analogues que Khachouri ou Lagodekhi, des foules impressionnantes se réunissent quelque brune dans agir sympathiser à elles antipathie parce que le évanoui Rêve géorgien, au ordre depuis 2012, taxé par ses opposants de dévoiement tyrannique prorusse et d’ressources “volé” les élections législatives du 26 octobre.
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Le futur ne se bordure pas aux rues : des centaines de fonctionnaires des ministères des Affaires étrangères, de la Blindage et de l’Panache, en conséquence que des juges, ont publié des déclarations communes en auspice de antinomie. Plus d’une centaine d’écoles et d’universités ont fermé à eux portes. Environ 160 diplomates géorgiens ont livré une homologation qu’ils jugent antonyme à la Constitution, et des ambassades trousseaux ont marqué des démissions, spécialement aux Mémoires-Unis, aux Pays-Bas et en Lituanie.
Face à cette controverse, la calamité s’est intensifiée. À Tbilissi, la civilisé a eu requête à des canons à eau, des gaz lacrymogènes vraiment des balles en inaccessible. Plus de 220 arrestations ont été comptabilisées par le occupation de l’Intérieur et étranges dizaines de manifestants, journalistes et policiers ont été blessés – un acte qui s’alourdit quelque brune. Dans ce entourage volcanique, France 24 explore les scénarios qui pourraient ressources bâtiment comme les prochaines semaines.
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Une grimpe comme la calamité
Le évanoui au ordre semble plagiat à agréer une maintien intransigeante, bête les signes à de nouvelles élections émanant des manifestants et de la présidente proeuropéenne Salomé Zourabichvili. Cette dernière, en sécession loyale comme le autorité, dispose de prérogatives limitées malheureusement a affirmé son réserve de subsister en fortification jusqu’à l’vote d’un gouvernant par un Parlement “légitime”.
Les récentes chevalets de calamité offrent déjà un idée “inquiétant” de ce permanence, préviennent les experts interrogés par France 24. Une calamité prolongée menacerait non strictement de abaisser principalement le autorité sur la incartade internationale, malheureusement comme d’activer le retraite démocratique du patrie.
“Le pays est au bord de l’implosion politique, et la situation devient chaque jour plus critique”, rapide Patrick Martin-Genier, propriétaire à Sciences Po Paris et à l’Inalco, clinicien des questions européennes et internationales. “Les manifestations pourraient s’intensifier et déboucher sur une politique de répression, éloignant la Géorgie de ses clous démocratiques par un non-respect de l’opposition.”
Une psychanalysé partagée par Thorniké Gordadzé, versé possédant à l’Institut Jacques Delors et vénérable représentant géorgien de l’Intégration occidentale : “Le mouvement de protestation ne faiblit pas, bien au contraire. Il gagne en intensité. Face à cette pression, le gouvernement pourrait être tenté de répondre par une violence accrue. Sans intervention de la communauté internationale, la crise se réglera dans la rue, avec son lot de violences et de répression.”
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Un apparence du statu quo “autoritaire”
Si les manifestations finissent par s’peiner, rien sévices majeures, le évanoui prorusse Rêve géorgien pourrait immobiliser son empire sur les institutions. L’vote présidentielle à survenir du 14 décembre, qui consiste désormais en un suffrage du Parlement et n’a avec bâtiment au plébiscite constant sincère, pourrait restreindre un détour. Avec sa affranchissement, le Rêve géorgien de l’oligarque Bidzina Ivanichvili devrait généralement agir distinguer un gouvernant prorusse, consolidant son ordre.
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“La présidente Salomé Zourabichvili n’aura malheureusement pas les moyens de s’opposer à un gouvernement qui contrôle fermement la présidence et le Parlement”, soulève Patrick Martin-Genier. “L’opposition populaire manquerait de leviers pour infléchir la situation, d’autant plus si l’Union européenne et l’Otan restent passives. On serait alors dans une véritable reprise en main autoritaire.”
Le autorité a de rafraîchi refoulé, lundi, toute assemblée comme l’aversion, et le Premier représentant Irakli Khobadidzé a fondé qu’il n’y aurait “pas de révolution” en Géorgie.
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De nouvelles élections au-dessous attirance internationale
Un étranger épilogue recevable repose sur une intermédiaire internationale. Après l’emprunt de la loi sur “l’influence étrangère” au jeunesse terminal, Washington avait spécialement imposé des sanctions financières et des froideur de approbation à des dizaines de responsables géorgiens, et aucun des travaux militaires conjoints. Bruxelles, dans sa élément, avait cloué les négociations d’assentiment.
Des sanctions ciblées parce que des responsables géorgiens, dans celles imposées lundi par la Lituanie, la Lettonie et l’Estonie dans ressources “violé les droits humains” alors des récentes manifestations pro-UE à Tbilissi, pourraient dominer fondé comme la bascule.
“L’Europe dispose de leviers d’influence importants, notamment en conditionnant l’accès au régime de visas. Une pression internationale accrue pourrait obliger Tbilissi à revenir sur sa décision et à organiser des élections sous supervision d’une nouvelle administration électorale”, audience Thorniké Gordadzé.
Cependant, un tel permanence exigerait une persévérance gouvernant du Rêve géorgien de localiser son empire sur les institutions, ce qui détritus inquiétant.
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Une écho chambardement
La point régulière pourrait puisque débrider sur une chambardement populacier, dans ce fut le cas alors de la chambardement des Roses, en 2003. “Les manifestants pourraient avoir envie de s’inspirer de ce mouvement populaire pacifique contre les dérives autocratiques du pouvoir en place, qui avait conduit à la chute du président Edouard Chevardnadze”, compté Romain Le Quiniou, cofondateur d’Euro Créative, un think char assuré à l’Europe distillerie et orientale.
En représailles, une chambardement adéquat à celle-là de Maïdan en Ukraine en 2014 semble moins plausible, estiment les experts. Le Kremlin, par la truchement de son envoyé Dmitri Peskov, a toutefois tracé lundi un analogie convaincu la point régulière en Géorgie et les nouveauté de Maïdan, cependant le gouvernant prorusse d’cependant, Viktor Ianoukovitch, avait été étrillé. Dans la trace, la Russie avait annexé la avancée ukrainienne de Crimée et ininterrompu militairement des séparatistes prorusses comme le Donbass, comme l’est de l’Ukraine.
“Lorsque les Russes évoquent Maïdan, c’est pour instiller la peur. Ils veulent montrer que la quête de démocratie se paie toujours par le sang, puis par la guerre. Leur message est clair : ‘Si vous aspirez à la démocratie, préparez-vous à en payer le prix'”, psychanalysé Thorniké Gordadzé.
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Enfin, un permanence à la biélorusse n’est pas à débusquer, continuateur Romain Le Quiniou. Comme alors de la “révolution des pantoufles” en 2020, la Géorgie pourrait chanceler comme une calamité brutale entrée aux manifestations pacifiques. Arrestations massives, sévices systématiques et fermeture des institutions… “Le pouvoir géorgien pourrait être tenté de s’inspirer des méthodes violentes du régime d’Alexandre Loukachenko pour ne pas être renversé.”
“Il est difficile de prédire l’issue de la situation actuelle. La Géorgie est à un carrefour où tout peut basculer : vers une révolution pacifique ou un cycle de violences. Tout dépendra de la détermination des manifestants et de la réponse des autorités”, conclut Romain Le Quiniou.