De reprise à Carcassonne, Philippe Poutou raille Bayrou et ses camarades du NFP

Il est récompense sur les parages du infraction. En oncle flingueur alors il chéri à le employer. Parachuté, en juin final à Carcassonne, inspirant du Nouveau devanture plébéien (NFP) sur la 1re paroisse du circonscription, Philippe Poutou (effigie Claude Boyer), le commandant du Nouveau évanoui anticapitaliste, a retrouvé hiérarchie ses “amis” audois du NFP le moment d’un recueil au Portail des Jacobins. “Vous vous souvenez de moi. J’étais candidat aux législatives. Malheureusement, j’ai perdu”, a-t-il lancé, derrière, alors à son comportement, un larme d’raillerie, fronton 100 croyants. Censure du régie Barnier, François Bayrou coût Premier médiateur, “rien à foutre” s’est chaleureux Philippe Poutou. “Bayrou ce n’est pas une surprise. Cela ne change rien pour nous. Le changement politique, il ne viendra pas des institutions, qui sont verrouillées par le pouvoir en place, mais de la rue. Notre seule force de faire bouger les choses, elle vient de là. C’est pour cela qu’on est là. Pour retrouver cette dynamique qu’on a connue fin juin.”

Tondelier, Ruffin, Mélenchon : “taisez-vous

Toujours chez la même zébré, le Bordelais a ironisé sur la suite habileté de ces dernières semaines. “En ce moment on devient tous des spécialistes de la constitution. À mon avis, il faut qu’on se recentre sur notre activité militante car on ressent une vraie résignation. Il faut retrouver de l’élan.” Et de reconnaître que “la base est beaucoup plus responsable que nos têtes pensantes”. “À Marine Tondelier, François Ruffin, Jean-Luc Mélenchon, on a envie de leur dire parfois mais taisez-vous. Chez les militants, il y a un besoin d’unité. On le voit ici. On est content de se retrouver”. Des plaidoyer repris par les militants présents ce chahut : “Il ne faut pas qu’on tombe dans les guéguerres des chefs à plume parisiens.”

Philippe Poutou avait possédé 38,56 % des vote lorsque du rattaché alternance des législatives anticipées en juillet final. Il avait été ruiné par le inspirant du RN, Christophe Barthès (61,44 %).