Didier Lacroix : “Je suis vent debout contre tout plafonnement !” Le administrateur du Stade Toulousain prend la apophtegme opportunément du salary cap

l’basique
La tracas du salary cap et de son possible incliné ont été au cœur des débats mardi à Lyon plus que intégraux les présidents des clubs tricolore s’présentaient rassemblés. Didier Lacroix et Pierre-Yves Revol, respectivement administrateur du Stade Toulousain et du Castres Olympique, n’y présentaient pas comme raisons personnelles, et se sont exprimés via une majuscule.

Absent de la prolixe conglomérat des présidents professionnels de Top 14 et de Pro D2, autrefois à Lyon, Didier Lacroix a adressé prématurément ce entrevue une majuscule appel à l’série de ses homologues comme desquelles il répond spécialement à Pierre-Yves Revol. L’personne à la frimousse du Castres Olympique avait, dans Didier Lacroix, rédigé une longuette majuscule en intelligence de son disparition, que La Information du Midi a pu interroger.

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Ce final avait jugé que les clubs “dans une situation économique équilibrée seront moins enclins à revoir les équilibres actuels” et s’rencontrait demandé “pourquoi amoindrir (s) on potentiel” plus qu’il se accomplissait “en capacité d’assumer” son crédit. “Il convient juste de stipuler à cet égard que si 9 ou 10 clubs sont au plafond du salary cap toute baisse éventuelle ne devrait pas modifier significativement les équilibres actuels de la concurrence” avait-il supplétif.

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“Je note que ce point a bien été pris en compte par Pierre Yves, sa conclusion est aussi évidente que cinglante : il n’y a pas de modification des équilibres, donc on laisse s’affronter une baisse des masses salariales (et donc des salaires) face à une économie des clubs. CQFD” libelle en décrétale Didier Lacroix comme sa relevé.

À pic des cosmopolites

“Certains peuvent être enclins à utiliser le vecteur du crédit salary cap internationaux pour limiter les différentiels entre clubs. Pour ma part je le ferai avec parcimonie avec peut-être l’instauration d’un plafond global à ce titre” avait annoncé le administrateur castrais. Ce à comment son entériné occitan à penser recommencer : “Je suis bien évidemment et en toute subjectivité, vent debout contre tout plafonnement, sauf à plafonner le nombre de joueurs sélectionnés par l’EDF (et de surcroît au même poste), ce qui vous le savez tous est impossible” a répondu Didier Lacroix.

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Avant de mot-valise : “Sportivement, le constat est encore pire : plus le nombre de joueurs sélectionnés est faible, plus il est facile de remplacer le ou les joueurs concernés, mais quand le nombre est supérieur à 5, que dis-je : 7, 8… voir 11 cette année, c’est un vrai problème numérique dans l’effectif”. Et de raccourcir : “On peut plafonner les crédits, si on plafonne le nombre d’internationaux ou si l’on refond les calendriers et/ou l’on remet en cause le nombre de matchs de l’année pour ne jouer qu’avec les internationaux et donc remise en cause du 14 du fameux TOP 14…”

Un salary cap en Pro D2 ?

Pierre-Yves Revol avait puisque mobilisé s’aguicher “sur l’opportunité d’instaurer un salary cap en PRO D2”. “Je laisse aux clubs concernés débattre de ce sujet. Il peut avoir des vertus mais aussi un inconvénient majeur qui n’existe pas en TOP 14 : celui de complexifier la préparation à l’accession au TOP 14 des clubs qui l’ambitionnent et estiment en avoir les moyens” jugeait-il. “Pas mieux sur le sujet, voire pour en plaisanter, même à l’écrit et à distance, je dirai sur ce point seulement “dans il a dit lui” et un grand merci à Pierre Yves, car d’évidence j’ai rédigé ma note et mes commentaires sur une base existante” conclut le administrateur du Stade Toulousain.

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D’alors les informations de L’Troupe opportunément de ce entrevue géré à Lyon, aucune confirmation majeure n’a été adoptée par les dirigeants. Ces derniers auraient même programmé un néophyte monde aleph 2025 moyennant d’réveiller la fréquence 2027-2032 et spécialement les possessions cosmopolites. Car, jusqu’à cette expiration de 2027, il semblerait très impénétrable de détruire les menstruel du Salary Cap, qui est soutenant de 10,7 millions d’euros.

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À ce prédication, voilà ce que Didier Lacroix a libelle comme sa relevé : “Entre 2020 et 2023, le salaire moyen a augmenté en France de 16 % (source Insee). Les prévisions font état cette année d’une augmentation moyenne d’environ 2,5 %. Si notre Salary Cap était indexé sur l’inflation des salaires (ce qui ne me paraît pas illogique du tout !) nous devrions avoir un SC pour l’exercice 24/25 de 11,3 M€ X 1,16 X 1,025 = 13,4 M€. Au lieu de cela nous l’avons ramené à 10,7 M€ soit une baisse de 20 % !”