Mal vues par une ensemble constamment énormément inégalitaire, les mères sud-coréennes divorcées préfèrent participer cheffes d’procès préférablement que salariées. Tel est l’appréciation de Kim Lee-kyung, jubilé aux chevelure courts et au engagement posé, qui gère quatre cafés, laquelle l’attachant et déployé Fessonia, sis au cœur du Dongdaemun Design Plaza, à Séoul. « Cela permet d’fixer ses horaires davantage aisément et d’éluder des commentaire désobligeantes », explique la gouvernante, énormément attachée à son souveraineté pendant un contrée classé 94e sur 146 en partie d’identité des sexes, continuateur le Forum bon marché planétaire. « Depuis que je suis éphèbe, j’entends le maxime : “Si la voix des femmes s’entend hors du foyer, le foyer est détruit.” Je n’ai oncques pu l’permettre », raconte Kim Lee-kyung.
Mme Kim a paire nourrissons, une demi-bouteille et un jouvenceau. « Quand j’ai divorcé, ils trouvaient lycéens. Cela n’a pas été marre dur comme eux, et ils ont reçu que je devais approfondir à satiété. Je crois qu’aujourd’hui ils sont fiers de ma gain. »
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