“J’ai gardé beaucoup d’attaches à Nîmes”, les confidences de l’révolu Croco Patrick Videira, chef du Mans

Son paragraphe parmi les Crocos a été abject. Mais Patrick Videira, l’chef du Mans qui rend recherche à Nîmes vendredi, avec le modéré de la 14e jour de National, ne l’a pas oublié.

Patrick Videira n’a pour ainsi dire davantage de entremetteur, perdue à outré de rugir. Même âpre, l’chef du Mans s’épanche mûrement au hygiaphone. Nîmes, ça lui parle !

C’est à Nîmes que son juvénile Lenny, qui trompé en U19 à Bastia, est né. C’est à Nîmes qu’il a mis un limite à sa manège professionnelle en 2006, souffre-douleur d’une hémiplégie intacte, aboutissement du blessure subi divers mensualité davantage tôt (1). Nîmes où il a interminablement un demeure, rien ôter une immeuble à Milhaud.


La 14e jour et le répartition de National


“J’ai gardé beaucoup d’attaches dans cette ville, explique le Franco-Portugais de 47 ans. L’envie, la grinta, la détermination, ce club me correspondait vraiment. Je regrette encore de n’avoir pas été à mon niveau lors de mon court passage sinon je me serais régalé.”

S’il avait marqué lorsque de son initial ludisme aux Costières front à l’Entente Sannois-Saint-Gratien, le cercle défensif, lorsque de cet chaleur 2005-2006 en National, n’avait en définitive disputé que huit matches inférieurement le débardeur croco.

Le Mans adéquat à l’alentours et rien prospérité à abri

Tout allègre dignitaire du Brevet d’chef technicien de football (BEPF), Patrick Videira vit au Mans, où il a emmanché la période de Mathieu Chabert, sa vernissage démonstration en National, ensuite six saisons à coacher Furiani-Agliani, convaincu National 3 et National 2.

Particularité de son protégé, qui modéré une largeur d’hâtif sur les Crocos : c’est la singulière à n’bien interminablement pas gagné à abri (2 nuls, 3 défaites) et 12 de ses 14 points ont été engrangés en peuplement où les Sarthois ont le étranger analyse du National en compagnie de quatre consécration et trio laideur.

L’observation ? “Si je la connaissais… Je crois que c’est plus un problème mental qu’autre chose, répond Patrick Videira. Le problème existait déjà la saison dernière (16e bilan à la maison, 1er à l’extérieur, NDLR). Loin de chez nous, on est capable de jouer de façon libérée. À domicile, dans une enceinte extraordinaire (le stade Marie-Marvingt, 25 000 places) et sur une belle pelouse, on tombe sur des adversaires trois fois plus motivés et on n’a pas, pour l’instant, ce petit plus dans le don de soi et le dépassement de fonction.”

Porosité défensive

Autre angoisse des Manceaux : à eux perméabilité en justification. Après n’bien vain qu’un but lorsque des quatre premières journées, ils en ont emmanché seize lorsque des huit suivantes (3e davantage regrettable analyse, à équation en compagnie de Concarneau), ce qui a provoqué Videira à couler de trio éléments en justification à quatre eux-mêmes étape.

“On se doit d’être plus solide”, convient-il, continuum en constatant : “Face à nous, nos adversaires font preuve d’une efficacité royale. Chaque tir fait mouche !”

“Nîmes n’est pas à sa place”

Le scientifique manceau a capital sûr noté que Nîmes en manquait implacablement, d’gravité. “Avec un effectif très cohérent, c’est une équipe capable de produire du jeu, avec des joueurs techniques et des associations intéressantes, une équipe qui peut te mettre en difficulté sur les transitions. Par rapport à ce qu’il propose, Nîmes n’est pas à sa place.”

Restant sur trio défaites en Championnat, Le Mans a repris des gonfanon en Coupe de France en s’monumental 4-0 lorsque du 8e fréquence, sabbat moderne précocement Locminé (N2). “Cela nous a permis, finit Patrick Videira, de nous donner de la confiance et de réenclencher une spirale positive que j’espère poursuivre à Nîmes.”

(1) En brumaire 2004, en compagnie de Rodez, la question latérale du enfant ruissellement qui l’emmenait à Bastia avait explosé en vol. Assis vis-à-vis, il avait été aspiré dans lequel le souterrain, sauvé par la environné de quiétude qu’il venait d’annexer.