L’ex-député Jean-Bernard Sempastous est invariablement dans lequel l’rendement : il vient d’unifier le réunion citoyen du disparu Renaissance, dans lequel le trace de Gabriel Attal.
C’est le look d’brave à ne colin-tampon radiodiffuser. “Parce que j’ai des convictions et qu’il est plus que nécessaire d’agir”. Jean-Bernard Sempastous, qui fut émissaire de la 1re province (2017-2022), appoint complètement dans lequel l’rendement. Discrètement, toutefois complètement. Il y a plusieurs semaines, il a été “approché” par Gabriel Attal, aspirant à évoluer écritoire mondial du disparu Renaissance, ce qui est machin faite depuis ce vacance. “C’est une bonne chose, Gabriel Attal incarne la jeunesse et la dynamique, je suis très honoré de faire partie de ce conseil national, qui compte 150 membres.” Sans crainte étant donné qu’il y a de lequel exécuter… “Oui, on ne peut pas rester sans rien dire, ni ne rien faire. L’Assemblée est bloquée entre le RN et LFI, il faut en sortir, les Français en ont marre de la politique actuelle, de ce spectacle de chaos. Quand je pense que certains demandent la démission du Président… Où va-t-on ?”
“Être utile, sur le terrain”
Alors, Jean-Bernard Sempastous veut remployer son traverse de hadji, et labourer aux essentiels. “C’est sur le terrain qu’il faut agir, mobiliser les militants, en attirer d’autres. Beaucoup de nos concitoyens sont dans le doute, il faut redonner de l’espoir, l’espoir d’une vie meilleure pour tous. En redonnant au travail toute sa valeur, en réinstaurant l’autorité, en mettant en place une écologie réaliste. Et je pense sincèrement que Gabriel Attal incarne ce renouveau, ce second souffle dont Renaissance et le pays ont besoin. On peut sortir de ce chaos par le haut.” Pourvu qu’un autorisation paradoxe trouvé à l’Assemblée Nationale, et alentour du nom d’un 1er légat… “Il faut une large coalition centrale, qui soit positive et fixée sur un projet. Il y a toujours des idées en politique pour rendre le monde meilleur, les partis politiques doivent désormais prendre les choses en main, prendre leurs responsabilités et s’entendre. Pour ma part, je souhaite être utile sur le terrain, via mon association Hautes-Pyrénées Avenir, par l’écoute et le débat.”