Chaque semaine, Midi Libre propose de fractionner un estaminet derrière une subsister du Biterrois. L’circonstance d’une dialogue moins impérative utile aux confidences. Cette jour, simulé au légat RN Julien Gabarron, que l’on a retrouvé au cœur des halles de Béziers.
Depuis son vote en juillet final, le légat RN Julien Gabarron, qui a heureux son chaire à Emmanuelle Ménard, s’endroit graduellement pendant lequel ses nouvelles offices. Comment va-t-il ? “Très très bien, on termine une année riche en expériences professionnelles, politiques, avec deux belles élections (européennes et législatives), c’est un succès. À titre personnel, c’est formidable d’assumer ces responsabilités, je suis très heureux. On est rentré dans un cycle de travail plus intense depuis septembre, mais c’est formidable.”
Après une stade de cabaretier à Béziers, avec de châssis vendeur, Julien Gabarron, qui est quant à le animateur départemental du RN, a conséquemment notoire les arcanes de l’Assemblée : “On apprend vite, je fais partie d’un groupe de 125 députés, 140 avec les alliés Ciotistes, on est encadré. Et on a une présidente Marine Le Pen qui a de l’expérience et qui sait nous guider.” Posé, le légat déroule un compliment réalisé, pondéré.
“La censure : on sentait la chose arriver”
Il a expérience et a été l’interprète, il y a deux semaines, d’un anicroche clé de la vie gouvernement française, la proposition de excommunication. C’subsistait pardon en coulisses ? “On sentait la chose arriver du fait des renoncements de Michel Barnier. On a l’impression qu’il a été complètement instrumentalisé par le bloc central. Il n’a pas réussi à reprendre la main. Jusqu’au lundi, 14 h, on y croyait encore, il pouvait amender le budget. Mais ça a été une fin de non-recevoir. Dès qu’il est monté à la tribune pour annoncer le 49.3, on savait que la censure serait votée. Après, c’est le moment solennel du vote de la censure qui est historique. Mais c’est logique. Nous, on est élu pour défendre l’intérêt des Français, on ne pouvait pas leur mentir sur un budget qui allait être adopté qui était pire que celui de 2024”.
Un immersion de blanc-seing préférablement actif tandis, à Paris. Reste à connaître pardon les choses évolueront derrière François Bayrou à la minois du administration. “Quand j’étais au collège, il était ministre de l’Éducation nationale, c’est notre tonton à tous. Est-ce qu’il va changer les choses ? Je ne suis pas certain”, luge le Cersois.
Membre de la change des firmes économiques, il entend construire l’accentuation sur ces problématiques, qui concernent notamment le monde viticole, le coin immobilier, les énormément petites industries, le négoce… “C’est ce qui fait que je consulte ici tous les jours. J’étais très mobilisé sur la question agricole.”
“Ça reste au stade de la réflexion”
Julien Gabarron documenté quant à l’aération prochaine de sa stabilité au 37 piste de Strasbourg à Béziers, à l’arête de l’arrivée Clemenceau. Il répète à hétéroclites reprises ce mot “engagement” au charité des développements économiques du parage, il souligne ses rendus derrière les maires. “Beaucoup de choses ont été faites sur la cosmétique, sur l’esthétique, des investissements importants qui étaient indispensables : on a une ville très jolie aujourd’hui, attirante. Maintenant, sur les chiffres de l’insécurité, de la pauvreté, du commerce…” ce n’est pas ça, estime-t-il, en corps. “Il faut se projeter sur l’avenir…” La sujet, banale, se comédie lorsque : sera-t-il impétrant à la commune de Béziers en 2026 ? : “Ça reste au stade de la réflexion”, répond-il. “Je ne rejette pas l’idée mais il est beaucoup trop tôt.”