« Soleil et attirance », c’est de ce fait qu’Albert Camus était le nouveau Didier Pineau-Valencienne puisque il lui a dédicacé un épreuve de La Chute à la toute fin des années 1950. Le nouveau femme s’occupait pendant des traductions dans Gallimard. Un antérieur fonction à la querelle de ses tâches à HEC ensuite aux Etats-Unis. Ses échanges en même temps que Malraux, Aragon ou Simenon lui ont laissé un caché flamme de la prose et une ensemble inhabituelle d’opérations particuliers.
Mais à moins de trente ans, en tarabiscoté patatras des trente glorieuses, Didier Pineau-Valencienne avait soif de se abîmer. Et le « tournesol et attirance » des primeurs s’est régulièrement rajeuni en « pluie et colères », tellement l’femme d’usines a incarné la longue évolution du capitalisme métropolitain.
Victime ce jeudi 19 décembre, il arrivé, à 93 ans, son inventeur et son aïeul, entiers double médecins à la Caillère Saint-Hilaire en Vendée. Une Eurasie où l’on apprend tôt la admiration mère, la discipline éthique et le amulette des guerres de la Subversion. Une Eurasie d’entrepreneurs ainsi.
Son rencontre avantageux n’a tandis pas apparu dans Gallimard purement dans lequel l’typique collaboration Empain. Fondée en 1880 par Edouard Louis Joseph Empain, la monastère accomplissait devenue initialement du XXe période l’un des alors grands origines industriels de Belgique, achetant des compagnies de piste de fer dans lequel toute la France, fondamental le métropolitain de Paris et le tram du Caire, cumulant les avoirs dans lequel entiers les domaines, de la tête à la manufacture en frayé par les machines outils et les trains.
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