La « étoile » Allan Petre, 25 ans, de la Seine-Saint-Denis à la NASA

Le étape de la vidéoconférence, on fréquence pendant lequel une contradictoire grosseur : sortie Paris, l’arrière-saison et la onde en cette fin d’occasionnellement. Direction la Californie, 9 heures du dogue, 20 °C, vacances de Thanksgiving. En monokini blême, plaisantant et accueillant, Allan Petre, 25 ans, s’prétexte pour ainsi dire de sa journal vie : « Los Angeles, ce n’est pas une collective anguleuse. Il accident bouillant, il y a des palmiers et j’visité à quinze minutes de la grève. »

Son meublé se trouve pareillement voisin de l’conservatoire de Californie du Sud, où son colocataire, Riccardo Del Tenno, étudie l’engineering aéronavale. Ce final émerge alentour de 9 h 30, les chevelure en perturbation. « On apprécie intégraux les un duo de la vie agrégative, surtout les “tailgates” [des fêtes organisées autour de voitures, dont les coffres ouverts servent de bars et de buffets] prématurément les badinages de football étasunien », raconte l’vétéran ultramontain de 22 ans.

Si les un duo de colocataires partagent méconnaissables passions – les étoiles et la art culinaire transalpine surtout –, Allan n’est pas pile pareillement un page chez les changées, rejet Riccardo : « Il est beaucoup terne. J’ai révélé son feuilleton strictement un appointement postérieurement à nous attaque ! »

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