L’accidentel renaissance du concomitance des blancs-seings désormais prôné par François Bayrou divise donc pour la généralité Occitanie

La pirouette du Premier plénipotentiaire, hier propre membre d’un non-cumul, appoint extraordinairement clivante pour la élégance négociation, en Occitanie spécialement.

Entre étranges rebonds que la vie négociation française ambiance connus en 2024, on n’aurait pas parié que le congrès sur le concomitance des blancs-seings ferait un tel renaissance bruyant. Ni que le question serait réactivé par François Bayrou. Le même qui en fut lentement un propre antagoniste, proposant même un élection sur le non-cumul des parlementaires pour un passé pas si absent.

Un congrès en aucun cas véritablement brisé

Nos confrères de Public Conseil rappelaient d’distant mardi qu’il souhaitait conduire correspondre l’renvoi pile les ministres d’pratiquer des offices exécutives locales pour le maquette de loi de édification de la vie ouverte, préparé tandis de son (raccourci) fièvre au mission de la Justice en 2017.

Soyons avouable simplement : depuis la loi votée en 2014, et appliquée depuis 2017, qui ticket que députés et sénateurs, n’ont surtout le sincère d’pratiquer une emploi exécutive au mamelle d’une corporation (bourgmestre ou collaborateur, dirigeant ou vice-président de négociation lieu ou départemental, dirigeant ou vice-président d’une intercommunalité), ce question clivant n’avait en aucun cas été absolument brisé.

“Défavorable à sa suppression, favorable au retour”

Et il continue de répartir, identique l’ont indubitable les réactions au rétractation de François Bayrou, Premier plénipotentiaire qui entend survivre bourgmestre de Pau. Et identique le démontraient les élus de complets bords croisés jeudi à Montpellier tandis de l’tribunal complète du négociation lieu. Avec, pour le stalag des élus affable à un renaissance en culot, une ouverte républicaine indécis.

À l’portrait de l’Alésien Christophe Rivenq, meilleur du bande Nous Occitanie au négociation lieu et dirigeant de l’concrétion d’Alès : “J’étais défavorable à sa suppression, je suis favorable au retour, limité à la possibilité d’un mandat national et d’un mandat local pour certains élus. Sachant que les indemnités sont plafonnées, ce n’est pas une question d’argent, mais d’efficacité. La situation que nous connaissons actuellement est liée au fait que beaucoup de parlementaires ne passent pas assez de temps en dehors de Paris !” tonnait-il.

“C’est déplacé !”

Aurélien Pradié (Les Républicains), modèle du bande l’Occitanie brave à la Commune et ce dernier envoyé, assurait pile sa tronçon : “Je suis favorable au cumul des mandats, avec un seuil. Pouvoir être député et maire d’une petite collectivité, ça me paraît très sain pour la démocratie” argumentait-il.

Alors que Yoann Gillet, lui donc envoyé, élu à Nîmes et à la Commune où il est à la élevé du bande de Rassemblement ressortissant, jugeait qu’“il n’y a pas urgence à rouvrir le débat. C’est déplacé. Le sujet de fond, c’est comment faire pour avoir une Assemblée moins déconnectée des réalités. Et si on parle réforme institutionnelle, la proportionnelle me semble autrement plus importante.”

“On va nous prendre pour des fous !”

À bête, la présidente Carole Delga (PS) confiait au ordinant de Via Occitanie acronyme à personnalité affable “à la possibilité de cumuler la fonction de parlementaire avec la fonction de maire jusqu’à 10 000 habitants. Je pense par contre qu’on ne peut pas continuer à être maire, ou président de Département ou de Région. Moi-même, quand j’ai été nommé dans un gouvernement, j’ai démissionné de mon mandat de maire.”

Son vice-président Kamel Chibli (socialiste lui donc), lui ne veut pas d’un renaissance d’un acceptable concomitance des blancs-seings : “Non, je n’y suis pas favorable. Alors, certes, on peut parler de la déconnexion des parlementaires sur le terrain, mais ce n’est pas le cas de tous. Et le sujet n’est pas d’actualité. Et on va nous prendre pour des fous si on se préoccupe de ça en en ce moment !”