Le fonctionnaire de Bagnols, Jean-Yves Chapelet, réagit à l’entrefilet figuré entre à nous littérature du 9 décembre sur la culture de aseptisation sédition sur sa préfecture.
Le fonctionnaire de Bagnols, Jean-Yves Chapelet, souhaite “rétablir la vérité concernant la campagne de communication mensongère sur la stérilisation des chats errants” continûment de à nous entrefilet figuré entre à nous littérature lundi 9 brumaire en-tête “Des habitants dénoncent “les actions fantômes” de Comme chat et chien”. “Le 3 juin, une convention a été signée avec l’association Comme chat et chien, représentée par Sylvie Gluck, en partenariat avec le cabinet vétérinaire de la Cèze, la Croix Bleue et la Fondation 30 Millions d’amis. Cette collaboration a pour objectif de lutter efficacement contre la prolifération des chats errants […]. Chaque année, la municipalité alloue à cette association une subvention unique de 1 000 €, somme raisonnable et justifiée pour mener à bien cette mission.”
Le fonctionnaire indique contre que “toutes les pièces justificatives requises ont été transmises bien avant la parution de l’article à Olivier Wiry [conseiller municipal d’opposition], conformément aux règles de transparence et de bonne gestion qui animent notre action”. “Le refus de prendre en compte ces documents et l’alimentation d’une polémique stérile traduisent une volonté manifeste de récupération politique, bien loin des préoccupations réelles des Bagnolais. Nous déplorons également que ces interventions publiques puissent être perçues comme une incitation au nourrissage des chats errants sur le domaine public, une pratique strictement interdite par l’article 120 du Règlement sanitaire départemental. La responsabilité d’un élu est d’œuvrer au bien commun, non d’attiser les divisions pour des motifs politiciens.”