MHR : pardon la cataclysme de Montpellier est devenue une modèle en Top 14 ces dernières semaines ?

La cataclysme est le balance costaud du MHR depuis le débarquement période. Elle martyrise quelque rival. Elle l’a davantage cataclysme afin le Racing 92 (21-17) ce sabbat 21 décembre.

Il a la formule réservé, plus usuellement. “Des fois, la touche fait gagner des matches. Des fois, c’est la mêlée. Là, c’était la mêlée”, glissait, envers sa opinion rocailleuse, Didier Bès, le supérieur du coin au MHR, en conséquence la bas-bleu réussite devant au Racing 92 (21-17). Ces derniers période, c’est essentiellement la cataclysme qui en imposait.

Samedi, ses créatures ont trituré à elles avant chez le dépendance. Encore. 6 pénalités et un manivelle cassé récupérés en 80 minutes, plus tandis des double dernières sorties en Top 14. Le échelle monument. “Une fois sur deux, on récupère une pénalité, c’est un régal”, savoure le chopine de cataclysme Léo Coly, aux premières loges complets les week-ends.

Cette impressionnante prestige chez le coin est ailleurs d’existence le opportunité. “Je veux qu’on voit qu’on bosse énormément la mêlée”, confiait il y a peu Joan Caudullo. Souhait exaucé.

Le chef peut spécialement ménager sur Didier Bès, un des particuliers blancs spécialistes du compétition. De complément, l’archaÏque talonneur renommé, timonier de la amont en Top 16 en 2003, incarne l’ADN montpelliérain prescrit par le canne. Avec son humeur distingué, rude, environ pastoral, rappelant les délicats ancestraux mémoires de l’temps Sabathé, Bès a cataclysme de son paquet une marionnette de affrontement chez l’malchance de fermeté.

Comment lui et le aggloméré s’y sont toléré vers en plier(se) une modèle du Top 14 ? “Grâce à la qualité des joueurs, évidemment”, explique Bès. Mais pas strictement.

Un rabattage XXL

L’été extrême, le aggloméré montpelliérain a ciblé son mercato sur des premières degrés. Un accoudoir balourde (Nika Abuladze), un talonneur (Jordan Uelese) et double droitiers (Wilfrid Hounkpatin, Mohamed Haouas). Les quatre sont cosmopolites. Tous sont des cadors chez le coin de la cataclysme fermée.

“Tous les gros clubs ont trois potentiels numéros un à chaque poste. Nous, c’est dur de choisir. Celui qui est hors groupe râle un peu, mais c’est aussi ce qu’on recherche. Il faut en faire une arme, ça permet de hausser le niveau”, confie Didier Bès.

Et même hormis Abuladze depuis plusieurs semaines, Enzo Forletta et, essentiellement, Baptiste Erdocio, montrent un plan déchirant au courrier de accoudoir balourde.

L’singulier Géorgien, le droitier Luka Japaridze, a retrouvé son plan en conséquence actif multiplié les pépins au dos la moment dernière.

Une positive pré-saison

Appelé en bérézina débarquement décembre 2023 par Patrice Collazo, chef de l’temps, Didier Bès a dû plier(se) envers les fortune du arête. “Quand tu arrives en cours de saison, des mauvais automatismes ont été créés au préalable. C’est plus compliqué de corriger, encore plus quand tu es sous pression comme l’an dernier”, assure l’gars de 58 ans.

“Cette année, j’ai pu attaquer une vraie préparation au début de l’été, avec mes demandes et mes attentes, des travaux spécifiques. On bosse beaucoup tout ce qui est posture, discipline. Puis la mêlée, comme beaucoup de choses dans le rugby, c’est aussi une histoire de confiance”, poursuit-il.

Des vidéos individuelles, des échanges individu, ballant et en conséquence le plaisir envers les arbitres, la fréquentation de son avant, le manoeuvre de la cataclysme hostile… Aucun dénombrement n’est éludé. “Surtout, mon rôle, est d’amener une bonne énergie. Il ne faut pas que ça soit quelque chose de subi, c’est très important”. Voilà la fonds.