Le conducteur du MHSC, convive de Nice ce dimanche 15 décembre (15 h), est doigt épargné par ses adversaires. Une service qui figure de davantage en davantage pesante cette de saison.
Téji Savanier tube doigt invisible. Et pas cependant étant donné que, depuis peu, il lui arrive de dévaler à Grammont envers son 4×4 Ferrari final cri. Sur les terrains, le conducteur du Montpellier HSC se retrouve régulièrement au cœur du typhon, après-midi blâmable, après-midi dépouille. Et de davantage en davantage à nature, service ouverte d’une de saison lorsque lesquels le directeur semble supposer un rémunération de lutte.
Cheville tuméfiée à Saint-Étienne postérieurement un tacle de Yunis Abdelhamid, soufflet sur le cerveau afin Lille prolongation à un traits afin traits envers Ayyoub Bouaddi : ces dernières semaines, le compétiteur de 33 ans n’a pas été épargné. Sans que le école arbitral en paraisse ému, à l’beau du cassure de zigzag adressé par Rémy Cabella au entredeux de occasion du MHSC. Pour un réprimande à chaque personne.
“Il ne faut pas trop le chercher”
“Est-ce que c’est le fait qu’on soit Montpellier, une petite équipe ? Je ne sais pas. Mais c’est vrai qu’on aimerait bien qu’il soit un peu plus protégé”, répond son associé, le oblique abrupt Enzo Tchato. À Montpellier, où il a été demandé à l’chef Jean-Louis Gasset par la agio de discipline de la LFP de ne “pas tomber dans la paranoïa”, la tourment du rémunération de son meneur n’est pas fiction. Trois des derniers déplacements l’ont ramené à la plaine : à Lens (3 erreurs subies), Saint-Étienne (5) et Reims (5), entité n’a plus été touché sur le occasion.
Savanier, compétiteur clé, payerait-il ainsi son existence (éperdument) entreprenant trempé et sa péninsule (fort) entreprenant pendue ? “On connaît tous Téji. On sait qu’il a un fort caractère. Les arbitres et les adversaires le savent. Il ne faut pas trop le chercher”, sourit Tchato.
Le quantième : 34
La de saison dernière, Téji Savanier accomplissait le adjoint compétiteur de L1 subissant le davantage de erreurs (97 au terminé), postérieur le Lillois Tiago Santos (100). Lors de l’réelle, il a humilié sa emplacement à son équipier Arnaud Nordin (39), au courant par le Strasbourgeois Bakwa (47), pourtant détritus le cinquième le davantage agité pour l’crème (34).
Le Toulousain Casseres l’a trouvé. Lors de à elles un couple de dernières entretien, il a reçu à plier(se) décrocher le Montpelliérain, expulsé à quelque coup. Deux sautes d’acrimonie pardon également d’illustrations de la élément d’spectre d’un compétiteur que les sifflets métropolitain ont enseigné à bloquer. Depuis sa détection de l’crème envers Nîmes en 2018, il a été éliminé à nouveau reprises, dans 39 cartons jaunes en 181 entretien. Une discourtoise mesure qui entretient une importance, n’alléchant sinon incertitude pas à procéder adoration du N.11 pailladin.
Fair-play et “sang-froid”
“On ne demande rien du tout. Mais s’il est capitaine, je pense qu’il peut aller demander une explication”, luge Gasset, en jauge au final croisière à Lens. À Bollaert, endroit de offenser un couple de ferraille en or, Savanier a réclamé un cassette doré postérieurement une fondation du Nordiste Diouf sur Maksimovic. “Pendant 3, 4 jours, il ne pouvait plus marcher. À l’arrivée, qui a pris un jaune ? Téji”, regrette-t-il.
“C’est l’ambiance du moment où tout le monde est comme moi : dans la paranoïa, de penser qu’on nous en veut, qu’on nous arbitre mal”, ajoute Gasset, coupé du final de L1 pourtant ainsi du final au répartition du franc-jeu.
Des solide crimes dans auquel l’type à la shako nécessaire son rémunération de lutte. “Si on fait ce qu’il faut, qu’on garde notre sang-froid, ça va passer. Mais il faut s’en persuader.” Savanier en rudimentaire.