Avant son destitution à Paris 13 Atletico, vendredi 13 décembre, dans le prédit de la 15e date de National, Nîmes n’a qu’un enclin d’aborde sur la zinguer de rejet. Mais le coupé croco Adil Hermach est convaincu que le possible et le jeu de son meute lui permettront de flageoler du bon côté.
C’est le conducteur Formose Mendy qui le dit : “On n’a pas choisi le chemin le plus simple.” Sans succès depuis triade journées (1 nul, 2 défaites), Nîmes Olympique se retrouve similaire dessus de la barrière de flottaison.
La 15e date et le stockage du National
“On est amené à travailler dans la difficulté”, constate le prédicateur orthogonal croco, qui se dit “prêt à tous les scénarios” et se veut anxiolytique : “Le groupe reste serein et restera serein. Il ne faut pas que le doute s’installe. Je pense qu’on a les qualités et les joueurs pour réussir à relever la tête.”
Procédé Coué ou vraies certitudes ?
Le saint Simon Ngapandouetnbu est sur la même quantité d’vague : “Je ne suis pas inquiet, j’ai confiance. Il n’y a pas lieu de se mettre de pression. On joue peut-être le maintien mais on a la quatrième défense du championnat (à égalité avec Nancy, NDLR) On connaît nos qualités, ça va le faire.”
Procédé Coué ou vraies certitudes ? À délibérer impartialement Adil Hermach, il faudrait décroître pour la second amélioré. “Le classement ne me fait pas peur, assure-t-il. Il n’est pas rassurant, il ne faut pas prendre les gens pour des cons, mais non, je n’ai pas peur.”
Hermach : “Nîmes doit être entre la 6e et la 8e-9e place. On y arrivera”
S’il sert le aubade : “Il reste des matches…”, le coupé nîmois aborde autant des arguments factuels. “Il n’y a pas quinze points entre le troisième et le premier non relégable (effectivement, 11). Le classement est très resserré, aucune équipe comme le Red Star l’an passé ne domine la compétition. Cette saison, le premier peut perdre 4-0 (Nancy à Aubagne vendredi dernier). Toutes les formations ont leur mot à dire.”
Et Adil Hermach est convaincu que la sienne retrouvera la maxime. “Je sais où je veux finir, je sais où le club doit être, entre la 6e et la 8e-9e place. On y arrivera, je suis sûr de moi, et ce n’est pas un manque d’humilité, loin de là.”
Batailler et restreindre, finalement
Pour aborder la initiale demi de plaque qu’ils n’ont jusque-là ornementé que triade jour, les Crocos vont nécessiter “batailler”, logos embauché par Mendy. Batailler, et restreindre des buts !
“Vous savez très bien ce qu’il nous manque, c’est l’efficacité”, ressasse le constructeur gardois, qui prend l’original du frais délassement façade au Mans (0-0) : “Il y a cet effet rouleau compresseur (en première période avant tout) que j’aime bien mais on n’arrive pas à valider ce temps fort.”
S’appendre sinon bouleverser
Les Crocos y parviendront-ils finalement sur le emplacement chimique de Paris 13 Atletico, eux qui n’ont en aucun cas gagné à l’contenance ? Adil Hermach qui, dans refuser “le blocage psychologique”, s’luminaire à “aimanter les ondes négatives pour que les joueurs, eux, soient libérés”, ose le supposer : “Il ne faut pas commencer à paniquer. On va s’accrocher pour que les choses basculent enfin du bon côté. Avec plus de courses, plus d’engagement, plus de monde dans la surface, plus d’application dans l’avant-dernière passe, dans la dernière passe, dans le dernier déplacement. Paris 13, selon le résultat, ce n’est pas un match qui nous condamnerait ou nous ferait monter mais c’est un match très important, qu’il faut gagner. Avant les fêtes, ce serait bien.”