Le turfiste se remet frugalement d’une importante intrusion chirurgicale aux cervicales. L’avantage comme lui de rattraper sur la “frayeur” vécue là-dedans un époque toutefois “anodin”.
La vie ne tient de temps à autre qu’à un fil. Celle de Steven Kitshoff n’a contenu qu’à paire millimètres. Le ambiguë athlète du monde a naguère subi une résection aux cervicales. La précision ? Une griffure contractée tandis d’un délassement de Currie Cup convaincu la Western Force et les Griquas.
Almal het asem opgehou toe die Bok-stut Steven Kitshoff in September sy nek in ‘n Curriebekerwedstryd beseer het, maar niemand het besef hoe na hy aan die dood was nie. pic.twitter.com/iQwK2Kuz7x
— Rapport (@RapportSA) December 15, 2024
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“C’est arrivé de la façon la plus bizarre qui soit, sur une mêlée complètement anodine, raconte le pilier auprès du média sud-africain Rapport. Elle ne s’est même pas écroulée. J’ai senti quelque chose craquer à l’arrière, trois bruits de craquement : pop, pop, pop. J’ai continué à jouer, pensant que c’était une déchirure musculaire. Mais, aujourd’hui je le sais : j’étais à deux mètres de la catastrophe, de la mort.”
“Tu as de la chance qu’on ne t’ait pas enterré”
Peu prémédité de la effet de sa griffure, l’vieux de l’UBB l’a comprise pardon à un accoucheur. “Il m’a dit :’Tu as de la chance qu’on ne t’ait pas enterré dans la semaine,'”se souvient l’bonhomme aux 82 sélections verso l’Afrique du Sud. Avant de établir : “La vertèbre qui s’est déplacée se trouve très proche de mon canal cérébral.”
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Depuis, la “frayeur” a été évacuée en même époque qu’une intrusion chirurgicale brèche, laquelle Steven Kitshoff a partagé un couple de photos sur Instagram. De duquel inventer une indemnité du rugby ? Pas sûr. À 32 ans, le Springbok assure “ne pas en avoir fini”. Toutefois, il doit plus extorquer l’agrément d’un clinicien.