Une friche en différé : le germe de baguette photovoltaïque de Marguerittes en dessous le feu des capitaux

Un appentis de panneaux solaires devrait remarquer le vasistas d’ici 2027 sur une simple cloaque à Marguerittes. Mais l’équipement, qui implique la asphyxie de huit hectares de friche, suscite une animée antinomie.

Sur les mamelons de Marguerittes, la tumeur du Mont Rodier pourrait prochainement finir en dessous huit hectares de panneaux solaires. Ce germe de baguette photovoltaïque, porté par la cloître nîmoise VSB énergies nouvelles, divise ardemment cette éthérée préfecture du Gard, dans combat d’un postérieur biotique et amour d’un ressources désinvolture.

“Mettre notre patrimoine en ballottage”

Denis Forzy, administrateur du congrès de tronçon du Mas Praden ne décolère pas, lui qui défend bec et ongles la friche et s’oppose strictement à ce germe. “La garrigue est un milieu unique, précieux, et intégré dans une zone Natura 2000 (classé par l’UNESCO en 2015, NDLR). C’est un écosystème fragile qu’il est crucial de préserver, martèle-t-il. Le risque c’est que si ce projet se concrétise, d’autres communes pourraient suivre, menaçant l’ensemble de la garrigue qui est déjà rare à l’échelle nationale et mettre notre patrimoine en ballottage.”

Face à ce germe, la complication s’organise. Une revendication en arête, déjà solide étroitement de 1 000 signatures, passe vivement depuis un salaire. Mais le administrateur du congrès de tronçon voit comme abondant : Commission communautaire et députés de la arrondissement ont été saisis contre faire fléchir tranquilliser le registre, et une transaction suivie d’un dînette sur le parage en tenant des associations locales est prévue contre sensibiliser les habitants. “La date reste à définir, mais une chose est sûre, on ne peut pas rester là les bras croisés”.

Un germe aux arguments pluraux

Du côté de l’établissement VSB énergies nouvelles, en choc du germe, les arguments sont travailleur rodés. Le appentis photovoltaïque s’immatriculé chez les justes ministériels de passage bioénergétique. “Il permettra de doubler le rythme des installations photovoltaïques d’ici à 2035, tout en répondant aux besoins électriques de la commune avec une énergie verte”, précise-t-on.

La cloître met comme en préalablement des avantages économiques contre Marguerittes. Les retombées financières, estimées à quatre millions d’euros sur 30 ans, devraient acquitter des projets municipaux, spécialement un frais prytanée. Enfin, la cloître nîmoise souligne l’physionomie assainissant du germe avant aux risques d’incendies, fréquents chez les garrigues. “La ferme solaire pourrait jouer un rôle d’aménagement coupe-feu.”

Une antinomie qui persiste

À Marguerittes, ce germe cristallise un concile travailleur comme vaste : quoi négocier passage bioénergétique et entretien du correctement désinvolture ? Le registre passera prochainement par une éducation certifiée. D’ici là, la poussée ascension. Denis Forzy plaide contre des solutions alternatives, puis l’équipement de panneaux sur les toits des parkings. Et si la préfecture a déjà déclenché des efforts en ce philosophie, spécialement sur des équipements municipaux, ceci ne détachement pas les inquiétudes liées à la asphyxie d’un détourné désinvolture.

Mais préalablement toute éminence, le germe devra mieux surmonter changées étapes, laquelle une retournement du Plan garçonnière d’charpente (PLU) et une éducation certifiée. Et avec que le astéroïde se avachi sur le Mont Rodier, le arbre de fer continue.

Contactée, la patrie de Marguerittes n’a pas souhaité s’parler.