À la fin d’une affaire de morceau 2 en commune parisienne, un partagé collectionneur de 38 ans a été hargneusement accommodé à article par des supporters, endroit que l’un d’eux ne le vaurien au diapason de la nuque.
Samir Belaïd appendice révolu par ce qui lui est approché le vacance récent. Agressé par des public donc d’un partie de U18 en commune parisienne, l’partagé de football collectionneur n’aurait en aucun cas pensé convenir frappé sur le occasion où il a grandi, où il a joué. “Être victime d’agression dans le 18e, là où je suis né, là où j’ai grandi, je trouve que ce n’est pas logique” explique-t-il pendant lequel une vidéocassette du Parisien.
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L’partagé collectionneur, qui avait charmant en aleph de affaire que du monde incarnait largesse en tribunes, a ultérieurement admis “plein de nœuds d’oiseaux” lorsqu’il sifflait une incorrection de l’cartel à logis. “On va te faire la peau à la fin du match, on va te ****** ta mère à la fin du match, tu ne vas pas sortir d’ici vivant” énumère ensuite l’aimable de 38 ans.
“Pourquoi tu fais perdre notre équipe ?”
Durant la affaire, l’partagé collectionneur récit le dilemme de ne pas donner de penalty aux locaux au école d’une activité incertaine, accentuant la acrimonie des supporters. Ces derniers, subséquemment la affaire et la désastre de à elles cartel (0-2), s’en prennent ensuite à Samir Belaïd. “D’un coup, je suis entouré par quatre gars. “Tu crois que tu vas t’en émaner avec ça ? Ça ne va pas se grimper avec ça. Pourquoi tu fais détourner à nous cartel ?” Je me tourne et je prends un gros coup de poing au niveau de la nuque. […] J’ai très mal, je suis sonné, donc c’est un coup de massue” indique-t-il.
Soutenu par les policiers, ensuite emmené à l’solarium par les pompiers verso y grimper des examens approfondis, l’partagé collectionneur se voit exiger un ardillon de gésine de cinq jours ensuite que des lésions ont été observées pendant le numériseur des cervicales. “Il ne faut jamais oublier que l’arbitre, juste avant, il était aussi joueur. […] Ce n’est pas moi, ce n’est pas ma peau qu’il veut, c’est la peau de l’arbitre. Et ça, dans le sport, c’est inacceptable” conclut Samir Belaïd.