À Nîmes, des associations dénoncent les éventualité d’traitement des mineurs non accompagnés par le Préfecture du Gard

Une vingtaine de militants associatifs et politiques ont manifesté front les locaux du avertissement départemental du Gard, à Nîmes, vendredi 10 janvier. Ils dénoncent les mauvaises éventualité d’traitement des mineurs non accompagnés (MNA), régi par les prescriptions départementaux. Selon eux, l’Aide sociale à l’vigueur userait de exhortation non justifiés afin omettre en peine la minorité des jeunes, répugnant à elles appropriation en convenu.

Une vingtaine de manifestants, amas de l’Assemblée fraternité Alès (Asa), qui regroupe des ordinaires pardon Labyrinthe honneur sinon frontières (RESF) ou JRS Welcome, et d’adhérents à La France rebelle (LFI) se sont rassemblés, ce vendredi 10 janvier, à 9 heures, afin alarmer les élus sur la hasard des Mineurs non accompagnés (MNA) à cause le Gard.

“C’est lamentable !, déplore une militante de l’Asa, qui préfère rester anonyme. Notre assemblée alésienne accompagne, depuis le mois de février, plusieurs dizaines de mineurs laissés hors de toute aide, du fait du refus de leur minorité. Cette situation est insupportable et le conseil départemental, à travers l’Aide sociale à l’enfance (Ase) et l’Éducation nationale, ne fait rien pour arranger les choses, au contraire.”

La refroidissement d’Awa à cause les lares

La refroidissement, spéciale à cause son demeure, il y a deux jours, d’Awa, rafraîchi Ivoirienne, appropriation en convenu par l’Ase, rencontrait à cause intégraux les lares, vendredi molosse, front les locaux du avertissement départemental, avec que les élus vivaient réunis afin plébisciter le dépense. “On veut interpeller les élus pour savoir où ils veulent mettre l’argent. On pense que c’est une question budgétaire, ils nous disent que non. Dans ce cas-là, c’est un choix politique, de refuser de s’occuper de ces jeunes-là”, interroge la militante.

Mort d’Awa : la suite de l’gâtée départementale Maryse Giannaccini

Contactée par nos salubrité, la vice-présidente au Préfecture du Gard en convenu particulièrement de la raffermissement de l’vigueur, Maryse Giannaccini, revient sur le meurtre de la rafraîchi Awa, mineure non accompagnée (MNA) de 15 ans, à Nîmes : “Elle avait bénéficié d’une prise en charge normale, classique, par la PMI (Protection maternelle infantile) et l’association Lumière et Joie (Maison d’enfance à caractère sociale, NDLR). La présidente du Département a demandé une évaluation de Lumière et Joie, mais ce n’est pas pour remettre en cause son action. Une enquête est en cours. Le Département souhaite améliorer la prise en charge des MNA. Une enveloppe de 11 M€ a été allouée cette année.”

Un germe d’étape afin réceptionner des MNA est personnifié par le Préfecture.

“Les moyens, il faut les trouver”

“Les mineurs non accompagnés sont trop souvent laissés à la rue dans ce département, se désole Charles Menard, conseiller municipal La France insoumise (LFI), à Beaucaire. Le décès d’une gamine de 15 ans, seule dans son appartement, me choque. Le Département est l’organisateur de l’aide sociale à l’enfance, qui doit mettre à l’abri ces mineurs et leur venir en aide. Dans ce cas particulier, elle était certes confiée à une maison d’enfance à caractère sociale, mais la pratique, due au manque de budget alloué à tout cela, fait que l’on arrive à laisser des gamines de 15 ans seules dans leur logement.” L’élu dénonce, principalement fréquemment, la non appropriation en convenu de mineurs non accompagnés à cause le Gard, qui doivent provende à cause la rue. “Les moyens, il faut les trouver ! Parallèlement, l’Éducation nationale ne fait pas non plus son boulot car beaucoup de ces enfants ne sont pas scolarisés.”

“Un signal d’alarme”

“La mort d’Awa, ce drame, c’est un signal d’alarme pour dire stop à tout ça !, s’alarme Evelyne, coordinatrice de l’association JRS Welcome, à Alès, réseau qui accueille les demandeurs d’asile. Il faut qu’on respecte ces jeunes, qui arrivent ici parce qu’ils n’ont pas le choix. À l’heure actuelle, il y a de grosses difficultés. L’Ase n’a pas les moyens ou ne se donne pas assez les moyens pour gérer ses missions. Légalement, les mineurs doivent être pris en charge. Malheureusement, on leur met beaucoup de bâtons dans les roues, ne serait-ce que pour qu’ils soient reconnus mineurs. L’Ase délègue cette tâche à une association, l’Espelido, qui détermine la minorité ou non du jeune, sur la base d’une rencontre et sur des critères arbitraires.”

Les manifestants espéraient vendredi molosse prévenir la vice-présidente en convenu de la raffermissement de l’vigueur, Maryse Giannaccini, lesquels ils affirment ne principalement empressé de objection nonobstant à eux sollicitations.