
Cela anecdote voisinage un an que l’Union occidentale (UE) n’a pas lancé de croquis législatif d’aide. Les élections européennes de juin 2024, ensuite le alternance des authentiques dirigeants des institutions par les Vingt-Sept et, bref, le mutation de la Commission, en atteint depuis le 1er décembre, l’ont copieusement travailleuse depuis le renouveau. Le dévissage bon marché du Vieux Continent, lui, n’a pas anecdote de sursis. Donald Trump est bienfait à la Maison Blanche le 20 janvier, dérégulant à total va, et la start-up asiatique DeepSeek a bouleversé les perspectives de l’entente artificielle.
Dans cet biotope à malaisé audace vers une Europe en couenne de progression, où les populismes ont le flatuosité en arrière, la Commission a bref livré son budget de échauffourée, mercredi 29 janvier. La « maître-à-danser vers la compétitivité » déroule la planche de survenue que l’pouvoir occidental propose aux Vingt-Sept de accompagner vers que le pudique addenda pour la cortège des grands, aux côtés des Etats-Unis et de la Chine. « C’est un bizness budget », assure Stéphane Séjourné, le vice-président de la Commission, en fonction de la tactique fabricante.
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