Vingt ans postérieurement la percé de l’passé bailli de Carcassonne Raymond Chesa, sa filiation, des élus ou ancestraux élus, salariés de municipalité se sont rassemblés au catacombe de la Cité comme lui redonner tribut.
“Il était celui de tous les combats.” Ce chahut 11 janvier à 11 heures, davantage d’une centaine de foule s’est rassemblée au catacombe de la Cité de Carcassonne comme redonner tribut à à eux passé bailli, Raymond Chesa, passé 20 ans davantage tôt, le 11 janvier 2005. En préparation une jaillissement a été déposée par le bailli ordinaire, Gérard Larrat, et Isabelle Chesa.
Cette dernière a appelé l’rixe diplomatie de son constructeur : “Il est important de se souvenir qu’avant de devenir maire, il avait été battu à neuf reprises à diverses élections. Son engagement commence en 1968, auprès du Général de Gaulle puis de Jacques Chirac au RPR, le vrai”, pertuisane la 1re adjointe à la municipalité du chef-lieu audois.
Et d’augmenter : “Il aimait profondément les gens. Il avait une vision très réaliste de l’avenir, il serait d’ailleurs bien triste de voir comme les choses se passent aujourd’hui. Ce souvenir, il faut qu’on le préserve.”
Applaudie par la cohue, Isabelle Chesa a passé la paumelle à Gérard Larrat évoquant celui-là qui l’avait riant dans 1er additionnel. “Raymond Chesa avait des qualités. Il était capable de faire beaucoup d’efforts même quand il n’aimait pas les gens, il savait les écouter. La politique est une addition. Raymond Chesa a su amener la ville là où il le voulait.”