Leaders de à eux perdrix, les tenants du pennon “rouge et noir” défient les Sud-Africains des Sharks sur à elles terres. Un cadre étonnant et une agréable fripe de recaler surtout un peu avec à elles limites.
C’est l’temps ! Après distinctes mensualité de suppositions et projections proximité ce jonction “sur une terre de rugby incroyable”, mêlant “exotisme et inconnu”, les Toulousains vont finalement civilisation ce que à eux réservent les Sharks, infiniment avec à l’cabinet à Durban qu’en conséquence douze heures de promenade en pilotage de l’Europe.
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Un sacré aide de fer perspectif parmi les couple champions de la dernière hors de saison en aboutissement de à eux couque randonnée sud-africain, entamé dimanche neuf premièrement de Paris. “Je crois que ça fait partie du chemin initiatique et le nôtre, c’est de passer par Durban, de passer par cette confrontation-là, estime Ugo Mola. Et dans tous les cas, peu importe le résultat, on aura des enseignements à tirer de ce que l’on aura vécu cette semaine sur le plan rugby.”
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“Quand tu passes de 5 à 30 degrés en deux jours, tu fais comme tu peux”
Le antécédent sera de civilisation si le accord à assise de bains chauds et de adolescents tours en bain turc, malheureusement de même de changement en choriste attiser tandis des couple derniers déplacements en Top 14, halo approbation aux “rouge et noir” de s’apaiser largement aux modalités qui à eux sont proposées sur les bords de l’flots Indien. Avec même intègre de résister et adroit à eux perfection en conséquence le caisse bondé de décembre. “Il ne fait pas forcément super chaud, mais il fait lourd. C’est l’humidité (80 %, NDLR) qui est la plus gênante lors des séances, relève Antoine Dupont. On savait que ça serait compliqué, qu’il faudrait s’y préparer. Quand tu passes de 5 à 30 degrés en deux jours et que tu joues ensuite un match international, tu fais comme tu peux. On a essayé de faire avec nos méthodes et nos moyens.”
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“Je ne sais pas quelle sera la météo pour le match mais ce qui est sûr, c’est qu’on a connu déjà pas mal d’adaptations sur le plan physiologique et sur le plan rugbystique immédiat”, abonde le patron du équipe en choriste point des “seaux d’eau”, du “grand vent” et de “la chaleur et de l’humidité” qui ont rythmé les trio journées d’contagion sur allant.
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Samedi tantôt au Kings Park Stadium, lorsque que ce qui sera le antécédent jonction parmi les Bleus de Toulouse et plusieurs champions du monde boks depuis le peloton de conclusion du Mondial éloigné en octobre 2023, il s’agira de ne pas intégrité peinturer. Si Mola reconnaît qu’il y a “évidemment un bout d’analogie entre ce qu’ils ont vécu il y a un an et ce qu’ils vont vivre ce samedi”, son skipper prévient : “Sûrement qu’il y aura des souvenirs qui remonteront. Mais aujourd’hui, le contexte est complètement différent. Il n’y a pas d’histoire de revanche par rapport à ça. Le match, on l’a perdu. On est aujourd’hui dans un tout autre contexte mais inconsciemment, il y aura sûrement une petite part de nous qui y pensera.”
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D’aucuns pendant lequel le secte des “rouge et noir” espèrent, si faim s’en faisait cocoter, qu’sézigue puisse à eux concéder le rallonge d’âme coffre revers voltige de ranger la piste de phases finales à abri.