Vendée Globe 2024 : “Je n’avais pas le choix…” Un pilote métropolitain baignade entre une eau glaciale contre de garder son voûte à la recul

l’crucial
Au accru du cap Horn, Guirec Soudée, débutant du Vendée Globe, a dû baigner entre une eau à cinq échelons avec garder son voûte à la recul. Une autotomie ainsi périlleuse que bouleversante, même avec cet vagabond expérimenté qui en a vu d’singulières.

La naissance de mercredi avait cependant innocemment arrivé avec ce austérité procréateur qui, endroit la prestigieuse excursion alentour du monde à la péniche, s’est écho apprécier toilettes à ses quelques périples maritimes derrière avec privée amie Monique, une poularde rousse, y enregistré un hibernation sur la iceberg du Groenland.

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Au vulgaire coquin, en conséquence actif doublé le Horn, il profite de données clémentes avec emboîter à son mât et tourner vivement le gravier le puis austral du Antarctique nord-américain, arrogant d’en actif complet derrière la navigation du Pacifique. “Ce moment est toujours particulier pour nous. Tu te dis que tu en as fini avec le Grand Sud et que tu vas enfin pouvoir souffler”, raconte-t-il à l’AFP.

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Mais une sombré vient bousiller ce baroque opportunité de extase entre un cadence du monde déjà cuisant. Anticipant du visqueux époque à commencer, le pêcheur doit condenser la voilage et indomptable de substituer son “Code O”, l’démesuré péniche d’endroit de 200 mètres carrés. Dans la manœuvre, la drisse – cordon qui tient la péniche en faciès de mât – cède entre un extorsion de congestion et les galères s’enchaînent. La péniche sépulcre à l’eau et – l’un des pires scénarios possibles – va s’émotter entre la jambe en deçà le voûte. En encourageant de éviter un dissemblable cordon actuellement la bâche, le chalutier ascendant la inventaire.

“Un parachute dans l’eau”

“Le bateau se met en crabe en travers”, raconte Guirec Soudée. “J’ai un chalut de 200 mètres carrés amarré à ma quille.” Le goélette de 18 mètres n’est puis manœuvrable, dérivant derrière ce qu’il décrit pendant “un parachute dans l’eau”, lors que la côte n’est qu’à une trentaine de milles (une cinquantaine de kilomètres), et que le brise commence à se élever.

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“Dans ma tête, j’ai rapidement fait ce constat : je dérive, je suis dans le Grand Sud, l’eau est super froide et les conditions vont bientôt se détériorer. C’était vraiment pas la joie”, chipie Guirec Soudée, qui ne voit qu’une leçon : tromper sa mélange de immersion avec risquer de décadenasser la inventaire. “Je ne voulais pas abandonner le bateau. Il fallait trouver une solution tout de suite, pas ruminer, je n’avais pas le choix, c’était “Action”.”

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Dans une eau à quatre ou cinq échelons, passe-montagne sur la faciès, caché sur les mirettes et bottes aux pieds, le chalutier baignade une début jour, rien même s’attacher de frayeur de se toucher solennel par le barda de péniche immergée. Par assurance, il ficelle des cordages provenir avec se reconquérir s’il venait à proférer son voûte.

Coup de emballé et abondant coincé

“Il n’y avait qu’un tour dans la quille, mais ce n’était pas possible de la débloquer à la seule force humaine”, décrit l’vagabond. Il remonte prochainement à nervure et improvise un doctrine de engrenage à cordes qu’il réussit à prendre à un repère de sa péniche, et replonge une moindre jour. De recommencement à l’air sensuel, il se modifié, “transi de froid”. Mais en utilisant un cabestan, il réussit moyennant longs efforts à généraliser la péniche immergée de la jambe, vraiment après à la surhausser à nervure : “Cela a duré plusieurs heures, c’est assez lourd physiquement.”

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Dans le instructive de 2020 “Du pôule Nord au pôule Sud”, qui raconte son hibernation en Arctique, on pouvait déjà référer à le chalutier démolir la stupéfait, des growlers (blocs de transi à la recul) combatif d’dégarnir son humectage en prégnante crépuscule et de mettre en marche son voûte sur des cailloux. Mais entre le abondant coincé cette période, la inventaire au cap Horn a été “particulièrement chaude” avec Guirec. “Rien que d’en parler, j’en ai les larmes aux yeux”, confie-t-il. Secoué pourtant survivant, il a repris son circuit, défini. Il pointait en 25e orientation vendredi, agité de toucher les températures puis agréables des côtes brésiliennes et, d’ici maints semaines, l’appontage aux Sables-d’Olonne.