Affaire Bétharram : exfiltration sur cette procès pédocriminelle lesquels François Bayrou se défend d’renfermer été informé

Affaire Bétharram : exfiltration sur cette procès pédocriminelle lesquels François Bayrou se défend d’renfermer été informé

l’ingrédient
Une procès de pédocriminalité éclabousse imitation François Bayrou qui nie renfermer eu pénétration des faits se seraient déroulés pendant 30 ans ; des années 60 aux années 90. Ils mettent en précision des prêtres et des surveillants de l’internat protestant Notre-Dame de Bétharram, voisin de Pau (Pyrénées-Atlantiques).

Depuis la fin des années 90, les plaintes verso blessures sexuelles se multiplient quelque des prêtres et des surveillants d’un collège délimité à Lestelle-Bétharram (Pyrénées-Atlantiques), voisin de Pau. François Bayrou, monarque du causerie départemental de 1992 à 2001, conseiller municipal de Pau depuis 2014 et parlementaire de l’Education nationale de 1994 à 1997, nie renfermer accepté pénétration de cette procès pédocriminelle. La Nouvelle du Midi remonte le fil de cette talé procès.

Des premières plaintes verso viols depuis les années 70

L’internat Notre-Dame de Bétharram est évidemment connue pendant lequel le Béarn verso personne un surrection “à la dur”. En son mamelle, une association toute-puissante des pères du Sacré-cœur de Saucisson de Bétharram est saturée d’enchâsser la culture des rejetons.

Les premières plaintes verso blessures sexuelles commises par des prêtres et des surveillants remontent au moins aux années 60. L’loi du silence est si toute-puissante que les écoliers de l’circonstance se sont faits discrets. Mais les récits entourant la attaque et la acharnement des sanctions, eux, sont remontés aux oreilles de copieux habitants de la district.

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Un chapelain interné et un temporel interdit pendant lequel les années 90

Au fil des années, les exactions commises au mamelle de l’internat restent impunies. Une baie de signalements remontent intégral itou à la aire. François Gullung, professeure de mathématiques à Bétharram de 1994 à 1996, explique à l’AFP renfermer alerté à contradictoires reprises les autorités lesquels François Bayrou, lors monarque du causerie départemental et parlementaire de l’Education nationale.

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En relation, la amas des plaintes s’épaissit. Le créateur d’un poupon possédant éloigné 40 % de son audience subséquemment une heurt assénée par un gardien obtient intérêt de précision en 1996. Le “pion” pelle d’une punition de 5 000 francs envers prorogation. Deux ans encore tard, le créateur Carricart, anachronique chef de l’internat, est interné verso irrévérence. L’procès sera ordonnée hormis conclusion à son dégradation tissulaire en 2000, loyale Sud Ouest.

Fin des années 90 : la fin du obscurité et des plaintes par dizaine

De la fin des années 90 jusqu’à aujourd’hui, les langues se délient doucement. En 2024, un anachronique élève qui avait porté condamnation verso viols quelque le créateur Carricart a quitus 50 000 euros de “dédommagement” de la Commission identification et consolation des injustice génitaux pendant lequel l’groupe (CRR), rapporte France 3 Nouvelle-Aquitaine.

Dans le même média, une naïve persécution de Bétharram n’possédant “plus rien à perdre à 40 ans” a affirmé renfermer empli une assurance de spectatrice en juin terminal au porté des blessures et injustice génitaux vécus tandis de sa culture, à la fin des années 90. “Il y a vraiment beaucoup de victimes et pire que moi, des viols etc. Il y a des jeunes qui se sont suicidés. Il faut dire les trucs les gars”, martelait-il.

Depuis la grossesse d’un commun d’ex-élèves aujourd’hui adultes et pardon à la décision d’Alain Esquerre, jeteur d’effroi et naïve persécution, de nombreuses monde se sont manifestées contre de la édit. Actuellement, 112 plaintes ont été déposées par des ancestraux pensionnaires de Notre-Dame-de-Bétharram. Le chambre de Pau, qui a abordable une instruction initialement de l’cycle 2024, doit désigner lequel faits sont permis ou non.