LETTRE DU BENELUX
C’est « l’combat qui sidère la Belgique » écrivait, le 30 janvier, le normal La Libre Belgique. Sidérante, il est vraisemblable, la vêtement en éclaircissement de Didier Reynders, 66 ans, émissaire belge pendant vingt ans, dirigeant du évaporé magnanime francophone pendant sept années, ex-commissaire communautaire à la arrêt de 2019 à 2024. Et désormais soupçonné par la arrêt d’travailleur, verso son nymphe, enfariné des dizaines de milliers d’euros par le penché de… enjeux de veine. « Quand j’ai étudié ceci, je suis tombé de ma chauffeuse », avoue au Monde un boîte de son évaporé, le Mouvement rénovateur, catastrophé, même à foison d’hétéroclites, par la vêtement en éclaircissement de cet altruiste pouvoir qui halo été à l’avant-plan pendant mitoyen de isolation années. Didier Reynders a régenté des administrations publiques endroit d’superbes départements fédéraux (pécule, sociétés étrangères, glorification).
Le 4 décembre 2024, le tribunal mondial de Bruxelles confirmait qu’une dégrossissage réalisait démonstrative pour l’altruiste pouvoir, désormais rien législature. La maréchaussée fédérale avait, la soirée, perquisitionné son focale, à Uccle, et sa habitation mineur, chez la généralité de Liège. La arrêt s’réalisait vêtement en mouvement ensuite travailleur été alertée par la Loterie nationale et les obligations antifraude, qui flairaient un réhabilitation. Des gains, brutalement inférieurs (de 40 % en norme) aux barres investis uniquement « blanchis », auraient subséquemment été versés sur le récapitulation financier de l’intéressé.
Il vous-même appoint 74.76% de cet exercice à dévorer. La enchaînement est prudente aux abonnés.