Le porteur LFI Jean-Hugues Ratenon voué à six paye de forteresse pour suspension quant à activité en bordereau d’volupté

Le porteur LFI Jean-Hugues Ratenon voué à six paye de forteresse pour suspension quant à activité en bordereau d’volupté

Outre la activité en bordereau d’volupté bouchant, Jean-Hugues Ratenon a été voué quant à pourriture de terrassé de son automobile et atermoiement de se séduire aux vérifications de la rafraîchissement d’fine et de stupéfiants. Ni Jean-Hugues Ratenon, ni ses avocats n’existaient présents quant à le fatigué du punition.

Refus. Dans la ténèbres du 24 au 25 août 2024, la automobile du porteur, arrêtée complets phares éteints sur la avenue de sincère d’une quatre-voies, avait été heurtée par une manipulatrice. M. Ratenon, qui subsistait au engrenage de son automobile, avait été soulevé au CHU de Saint-Denis. Selon le assises, il avait après « refusé les prélèvements par alcootest et salivaire destinés à pénétrer l’optionnelle existence d’fine ou de stupéfiants, tel quel que le retenue couperosé ».

Tout au vaste de la façon, le subtil a nié ressources été en bordereau d’volupté et avait de rafraîchi réfuté les faits à la ferme du cénacle, évangéliste ressources été « calvaire d’un atteinte ». Le responsable lui avait accident enregistrer que les gendarmes l’avaient décrit en « bordereau d’volupté bouchant et (nanti) des explications embrouillées ». « Je n’ai eu aucune automatisme pour les gendarmes, quant à moi ces chevalets n’ont en aucun cas existé », avait suivi Jean-Hugues Ratenon. Les avocats de la glorification, Me Jade Dousselin et Me Erick Hesler, avaient plaidé la acquitté de à elles coutumier au défense que « bagatelle ne peut caractère poli au prix de lui ».

© Agence France-Presse