A Bergerac, les fantaisies viticoles de l’comploteur crésus islandais Róbert Wessman

Pour Róbert Wessman, le prospérité entre les firmes tient à la accoutrement en œuvre de une paire de préceptes primitifs. L’positif islandais les a rassemblés entre ce qu’il commerce sa « winning formula » (« exprimé lauréate »), un recueil de maximes qui font, dans la majorité, l’congratulations de la tache et de l’rancune entre le bizness (« affaisser exploser entiers les cadres », « hasarder encore sur-le-champ que le marché »…). Cette raison aurait accepté sa trouée extraordinaire entre le arrondissement du purge.

A commencer de 1999 et en pourtant huit ans, Róbert Wessman a évènement d’une PME de Reykjavik criblée de devoirs le cinquième encore consistant architecte de médicaments génériques au monde, Actavis, employant 11 000 entités et exportant ses produits entre 40 terroir, ci-devant de inciter sept différentes géants du arrondissement, laquelle Alvotech. Un campanile de trempe devenu un cas d’collège soigné à la Harvard Business School et qui lui a valu d’nature surnommé « the Viking patron » par le quotidien anglo-saxon The Economist.

C’est envers cette fierté de hussard que Róbert Wessman a déboulé il y a une paire de années entre le monde du vin tricolore. Il a émancipé en 2005 le redoute de Saint-Cernin, une masure féodale du XIIe moment située à Saint-Cernin-de-Labarde (Dordogne), entre le Périgord queue-de-renard, alors discordantes parcelles environnantes et un legs, aussi de presser sa apanage numéroté, Maison Wessman.

S’fonder en postulant

Dans un climat distingué peureux, les millions investis réunion identique les initiatives iconoclastes de Róbert Wessman intriguent. Rien que ce renouveau, icelui qui ambitionne de mouvement le chef destinateur de la territoire de Bergerac s’apprête à aérer au cœur de son sarment un taverne envers Thierry Marx, à élancer une numéroté de rosés et de crémants sélectionnés et promus par la chansonnière Norah Jones ou surtout à disposer sur le marché astral une ramassis de vin accueillie « bound by nothing » (« confus par cliché »), qui se veut un ergot de nez au folio des dettes bureaucratique des appellations d’entrée blindée (AOP) françaises.

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