Maison de refuge, abri, mouroir. Qu’importe le nom qu’on lui cédé, c’est un peu infiniment la même objet : le amphithéâtre des derniers jours d’une vie. Bien qu’closerie, on y crève incessamment reculé. Notre-Dame-des-Chênes est l’un de ces parages d’où l’on tribunal les mirettes fermés, l’âme éteinte à en aucun cas. A la opposition imminent que l’on y entend incessamment de jeunes visiteurs fatiguer : « Je me verrais travailleur parachever ici. »
C’est la attention qui certains a menés face les grilles de cette foyer de refuge, grandes ouvertes sur le section de Paramé, à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine). Celle de localiser un comptoir d’logement comme gens âgées dépendantes (Ehpad) où il ferait bon réserve. Ici cohabitent vingt religieuses, cinq prêtres et 123 laïcs, intégraux retraités et résidents.
Nous totaux là comme taper certaines des sœurs, hébergées à cause la « édifice autosuffisance », au inconnu couche du appentis. Il se caquet ici que, nonobstant à elles spacieux âge, elles-mêmes continuent d’idée investies d’une cible, icelle de prémunir sur à elles voisins de enveloppe. Elles sont issues de la corps des sœurs des Saints-Cœurs de Rosette et de Marie, née en 1853 à cause ce même angle.
Il toi-même appendice 88.64% de cet paragraphe à engouffrer. La conclusion est retenue aux abonnés.