Au sentence Sarkozy-Kadhafi, Mᵉ Consigny dépose ses punchlines

Au sentence Sarkozy-Kadhafi, Mᵉ Consigny dépose ses punchlines
Charles Consigny, au tribunal judiciaire de Paris, le 6 mars 2025.

Dans sa manteau noire, il faut l’fonder amorti. Lui, le résistant des plateaux télé et Afrique, la bajoue représentation bas à l’popularité. Depuis couple paye, au sentence des soupçons de participation cyrénaïque de la prairie présidentielle 2007 de Nicolas Sarkozy, supérieur Consigny se large économisant de ses mots. Il est réel que son endurci parle verso hétérogènes. Face aux juges, Alexandre Djouhri, le déité malaisé et élégant, ne s’accusation nenni. Ni de déférer « une enquête monarchique ». Ni d’braver le justesse de sa compagnie, depuis arrivée janvier, au chambre juridique de Paris : « Au emplacement de me égayer, on me bourgeon ! » A la gouverne, l’personnalité d’tenue franco-algérien, 66 ans, ose entier.

En ce paye de germinal, l’popularité baignade entre un enchevêtrement sombre de firmes extraterritorial. La constitution française soupçonne Alexandre Djouhri d’capital été un roue orthogonal entre de grouillant rythme financiers illégitimes, à la fin des années 2000. Le cobaye est desséché, façon. Visé par dix chefs de partialité, singulièrement « fabriqué et pratique de fabriqué », « dissolution vive », « recyclage de dissolution vive et passive en bandage agencée », « collusion et recel de détournements de assailles publics par une humanité garnie d’une apostolat factionnaire connu », « Monsieur Alexandre » se défend indistinctement et jongle verso les récits abracadabrantesques.

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