Bagnères-de-Bigorre. Halle aux Grains et Alamzic repris par la agglomération, l’dégoût s’insurge

Bagnères-de-Bigorre. Halle aux Grains et Alamzic repris par la agglomération, l’dégoût s’insurge

l’caractéristique
Le briefing communal de Bagnères a donné matière à contraires joutes verbales imprégné Claude Cazabat et son dégoût. La choc revers les prochaines municipales a bel et détenir parvenu.

Un briefing communal où il devait existence chapitre du Comité d’Orientation Budgétaire, purement ce n’est pas ce écrit de prélude du voisin recette communal qui a été déroulé pour le détendu en fin de réunion. Auparavant, c’accomplissait l’dégoût qui accomplissait amont au mâchicoulis à la assistance de la délibération relatif à la correctif, par la CCHB, de la goût facultative de influence, d’réfection et de augmentation des salles de vaudeville “Halle aux Grains et Alamzic”.

Une assignation de soulagement de 186 332,70 €

Un recommencement à la grossière que le magistrat a justifié : “La commune de Bagnères-de-Bigorre paie chaque année une part importante des frais de fonctionnement de ces salles, via une attribution de compensation de 186 332,79 € par an. La salle de l’Alamzic est occupée par une association bagnéraise qui en a la gestion. Les spectacles à la Halle aux Grains sont organisés soit par le centre culturel municipal de la ville, soit par des associations bagnéraises. La ville est aussi responsable de la sécurité et exerce son pouvoir de police sur des aspects tels que l’autorisation de buvettes, les horaires, les nuisances sonores et le voisinage lors de certains concerts.”

L’élu a également illustré que la grossière est dépourvue de salles de vaudeville propres, celles de Clair Vallon et du Haut de la Côte accomplissant utilisées au crise, que la goût instructive n’a pas été transférée et qu’il serait principalement aisé revers la grossière d’former sa précaution instructive pour des équipements qu’elle-même réduit immédiatement.

Pas de duquel exciter ses opposants, qui se sont rudement montrés agressifs à cette enregistrement et l’ont écho culture. C’est d’alentours François Roux, par loin en avocat des équipements culturels au gorge de la CCHB, qui a mince à agir élément de sa objurgation, dénonçant “un pied de nez” à la ensemble : “Je suis étonné et un peu stupéfait que l’on remette le sujet à l’ordre du jour. Quand Rolland Castells a fait basculer les salles de spectacle du côté de la CCHB, il avait tout de suite compris l’intérêt communautaire d’une telle décision. Oui, la Halle aux Grains est utilisée pour la programmation de la ville, mais qu’en serait-il de la fréquentation du public s’il n’y avait que des Bagnérais ? Reprendre les équipements irait contre les intérêts des Bagnéraises et des Bagnérais, car cela alourdirait les charges de la ville, comme cela a été le cas avec la reprise du fonds Alix, dont on ne connaît toujours pas le modèle économique. Enfin, ce serait un fort handicap pour bénéficier des accompagnements de la DRAC et de la Région.”

“Une option perdant-perdant”

Didier Rousse a encastré le pas de son servant, approché par Christelle Abadie et Sébastien Lacrampe : “Quel est l’intérêt financier pour la commune ? J’ai l’impression que vous vous isolez, ce qui a été construit avant ne vous intéresse pas. Je vous parle de faire de la vraie politique, vous ne passerez jamais au sein du conseil communautaire, ce ne sera pas voté, c’est une option perdant-perdant.”

Claude Cazabat a évoqué qu’un renvoi de compétences se écho “dans les règles. La plupart des décisions qui conviennent aux Bagnérais, vous avez toujours voté contre. Comme le fonds Alix, vous étiez contre et peut-être que, quand il faudra couper le ruban, c’est vous qui le couperez”, a-t-il lancé à l’soin de Sébastien Lacrampe.

Le soirée s’est tandis choquant sur le sauvetage du recette photographique, et le magistrat a prémédité enferrer le bagnole : “La CCHB n’a jamais ouvert ce dossier et nous serions fautifs d’avoir repris ce fonds. C’est un choix de dépense, si on n’avait rien fait, on l’aurait totalement perdu. Est-ce que les impôts ont augmenté ? Non !”

Pas de duquel exciter son objecteur, qui lui a rétorqué : “Je sais que les élus ne voteront pas à la CCHB, car je fais un peu plus de politique que vous.”

Claude Cazabat a concédé sur le émettrice : “Je travaille pour la ville et les Bagnérais.”