Dès le appât de la durée 2025 de F1, les écuries ont déjà les mirettes rivés sur la règlement de 2026

Dès le appât de la durée 2025 de F1, les écuries ont déjà les mirettes rivés sur la règlement de 2026
Le pilote français Esteban Ocon dans une monoplace Haas lors des tests de présaison de formule 1, sur le circuit de Sakhir, à Bahreïn, le 28 février 2025.

Rendre le challenge du monde de précis 1 (F1) surtout extraordinaire : tel est l’achèvement de la actualité règlement accomplir qui entrera en audace en 2026. La même tourment prévalait déjà, il y a triade ans, au période de l’alignement d’un opuscule des offices visant à raboter les dépassements, puis huit années de victoire rien réparti de Mercedes à l’ère des moteurs turbocompressés hybrides, dans 2014 et 2021 : sept titres pendant les pilotes, huit pendant les constructeurs.

Trois ans surtout tard, le audit est désavantageux. L’bercail allemande, qui a raté le crochet des monoplaces « à action de sol », est compte à cause le kyrielle, pourtant sa compétitrice autrichienne Red Bull a imposé une appropriation total ainsi écrasante : triade titres pendant les pilotes (2022, 2023 et 2024), paire pendant les constructeurs (2022, 2023). Lors de la durée 2023, elle-même s’est même adjugé 21 courses sur 22, du jamais-vu.

« En F1, les ingénieurs sont interminablement surtout forts que les règlements, constate Jacques Villeneuve, gymnaste du monde en 1997, qui commente les Grands Prix sur Canal+. A quelque actualité règlement, ils épluchent le opuscule des offices comme de exhumer une malice qui va à elles autoriser de opprimer la opposition. Lorsqu’une bercail y parvient, elle-même peut dépendre inapprochable durant divergentes années. »

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