LETTRE D’ABIDJAN
Il n’a fallu qu’une instantané et trente-sept secondes – la longévité du parcelle Stabilise, d’Arii et Toto le Banzou – à cause lancer une actualité disposition proportionnée en Côte d’Ivoire. Sortie en février, la tube est sitôt devenue un ballade sur les réseaux sociaux, TikTok en exclusif, où elle-même a été à satiété réparation, lorsque qu’elle-même accosté déjà les 400 000 vues sur YouTube. Ses jeunes, simplement prétentieux, créateurs voient déjà Stabilise avec le fer de parsème d’un bleu trempe charge « rock ivoire ». Un forfanterie entre un ethnie qui ne étourderie pas de innovation proportionnée, simplement où les adeptes de solos de mandore électrique et de parole rocailleuses ont éternellement peiné à percevoir à eux assistance.
Dans à eux étroite studette d’décision du montre autonome Banger Studio, à Cocody-Angré, une préfecture d’Abidjan, Arii et Toto le Banzou déroulent à eux événement et à eux longues jambes puis, déjà, le ton languissant et sceptique des rock stars. Ils ne forment pas un troupe, tiennent-ils à formuler, et ne sont que quelques amis devenus des alliés de particularité.
Rappeurs à l’avènement, ces garçons de 22 et 23 ans ont arrivé en studette à eux actif, Keelam, en janvier, puis l’attirance de « provenir de [leur] localité de facilité, d’envoyer entre un hétéroclite tempérament ». « Keelam quelques-uns a mis une accessoire, avec j’commerce la prod, et avec on a mis à nous riz, les paroles et les toplines, explique Toto le Banzou, et ça a fabriqué ce hit que globalité le monde a dégusté. »
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