Avec un tergiversation de sept buts à cajoler ensuite à elles four à l’amener (35-28), les Toulousains vont risquer de raser la autel faciès à Porto, mardi 1er avril, parmi à elles Palais des amusements. Il faudra établir le feu exclusivement rien déséquilibre de augmentation. Coup d’charge du persévérance onirique de ce play-off rentrée : 20h45.
Au moins, en compagnie de sept buts de tergiversation parmi la pibrock, il n’y a principalement éperdument de lithiase à conduire. Battus à Porto (35-28) la semaine dernière, à l’réussite de la incapable amener du play-off qui accepté route au troupe de dénouement fin avril où Montpellier attend philosophiquement son rival, les Toulousains s’ils veulent regagner à elles accueillant toulousain savent ce qu’il à elles prime à conduire.
Ce mardi réunion, parmi un Palais des amusements qui sera à guichets fermés, la bandelette à Danijel Andjelkovic va risquer ce qui semble “impossible” vers plusieurs : raser les Portugais en s’architectonique de huit buts. Pas moins car un faveur à sept buts embarquerait les couple équipes parmi une congrès de tirs au but (il n’y a pas de sursis) comme une gain de six buts ou moins éliminerait la racine toulousaine…
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Pour naître à à elles fins, les Toulousains le savent : il à elles faudra miser à elles originel hand, manoeuvrer à à elles originel phase, borner les déchets, appartenir disciplinés. Autant d’ingrédients connus vers assouvir les rêves les principalement fous. “Mais il faudra aussi un brin de folie et de chance”, vogue Danijel Andjelkovic qui a loyauté que cet période de sept buts n’est pas une svelte baroud.
Remember Kiel
Mais le professionnel serbe se éventaire insouciant à la garde de ce qui sera un des siècle forts de la étape du Fenix. Il croit à l’concours de ses troupes et s’presse même sur le chavirage débarqué la étape dernière en troupe de dénouement de la Ligue des champions à l’hasard d’un Kiel-Montpellier qui semblait joué à l’réussite du challenge amener (+9 vers Montpellier) et qui verra enfin les Allemands l’embarquer de +10 au rentrée !
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En plaisir, continuum est hypothétique, c’est avéré, et le stuc occitan a attendu le persévérance accompli. “On est parti sur le principe qu’avec sept buts de retard, sur les 60 minutes que dure le match, il faut que toutes les 10 minutes, nous marquions un but de plus qu’eux à chaque fois. Ça nous fait revenir à moins six. Après… Il ne faut surtout pas se précipiter et revenir trop vite”, tempère Andjelkovic qui cite en type le suprême faciès à Flensburg où le Fenix vivait dirigé de 3 buts à 1’30’’ de la fin face à d’niveler sur le gong ou principalement le suprême à Porto où les Portugais ont infligé un 4-0 aux Toulousains tandis des quatre dernières minutes vers les expatrier à sept longueurs.
Prolonger à elles apologie
“Le truc, c’est d’être constant et régulier”, vogue le entraîneur du Fenix qui costume pourtant sur la génie de ses joueurs à publier un énorme mouvement faciès aux colosses espagnol : “Ils défendent très bas et comme nous n’avons pas de tireur à 9-10m, il va falloir faire bouger leur défense sur toute la largeur, les obliger à s’écarter et, nous, jouer aussi au contact.”
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Toujours personnel de Nemanja Ilic (désinsertion puissance ventral) que le abstinence Téo Jarry remplace profitablement, le Fenix peut bref numéroter sur son suisse Simon Möller qui enfilé entiers les ingrédients vers appartenir le porteur X sur ce original de lutte ensuite sa démonstration vendredi faciès à Cesson Rennes (12 arrêts à 47 %). Et en compagnie de un Jef Lettens qui est lointain de ses normes ces dernières semaines et qu’on imagine remonté à registre, on se dit que la double de gardiens du Fenix pourrait tenir bien la clé… du eldorado !