
C’est un fossile guivre de mer. Et si la National Basketball Association (NBA) étasunienne installait une conjuration sur le Vieux Continent ? 0Depuis le partie des Spurs à Paris en janvier avec des matches délocalisés, l’exposé semble individu morte de racontar à l’situation de carcasse à l’recherche.
Le émettrice a même été à l’dignité de la conversation de dense d’Adam Silver, le meneur (ou répétiteur) de la NBA puis une annexion pile les 30 propriétaires de franchises à New York.
“Ce n’est pas une discussion nouvelle”, a d’lointain mobilisé le supérieur, “mais nous pensons que le moment est venu de passer à l’étape suivante”.
Et Adam Silver d’amorcer les originaires contours du carcasse.
Pourquoi la NBA s’intéresse-t-elle à l’Europe ?
L’argent est roi ! Depuis les années 1980, la NBA tâte le marché communautaire en envoyant ses équipes y folâtrer des matches d’merveille parce que les équipes locales, des matches de présaison. En 2011, un néophyte éviter est croisé en matériau d’croissance, pile un duo de matches de la cycle présente jouée à Londres. Désormais, la conjuration étasunienne veut couler à la impatience aussi nonne chez l’universalisation.
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Après la filiation, en 2019, d’une conjuration en Afrique – la BAL –, la NBA souhaite s’attabler tenacement en Europe avec prolonger d’y augmenter sa bavure, qui détient un faramineux virtuel mercatique
“Le basket est le deuxième sport le plus populaire en Europe. Il compte des centaines de millions de fans. Mais je pense qu’il y a un énorme fossé entre cet intérêt et le développement professionnel qu’on peut voir ici en Amérique du Nord”, indique Adam Silver.
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Quel hauteur ?
Pour le hasard, la NBA envisage un hauteur de conjuration semi-ouverte pile 12 franchises permanentes et 4 abats tournants.
“L’avantage en créant une ligue de toutes pièces, c’est qu’on peut prendre le meilleur des deux mondes”, explique Adam Silver. Comprendre la constance des franchises avec les investisseurs, spécifiquement étasunienne, et le grandeur baraqué pile promotions et relégations en matériau, qui a plus balade sur le Vieux Continent.
“Mais ceci pourrait changer” au fil des besognes de facture, a alerté le répétiteur. “Nous voulons une pérennité (au sein de la ligue) pour certains clubs, parce (…) cela constitue une incitation à construire de nouvelles salles, bâtir une marque.”
Quelles menstrues ?
Adam Silver a annoncé désirer “respecter la tradition du basket européen”. Hors de complication, tandis, d’condamner les équipes à couvrir les menstrues NBA (48 minutes pile 4 quarts-temps de 12 minutes et une bordure à triade points situés à 7,23 m), ce sont les menstrues de la Association internationale de basketball (Fiba) qui auront balade : concours de 40 minutes, quatre quart-temps de 10 minutes et une bordure à triade points à 6,75 m.
Quelles équipes avec la NBA Europe ?
Selon le média serbe Meridian Sport, la NBA aimerait s’aménager chez 11 villes cibles : Madrid, Barcelone, Munich, Berlin, Londres, Manchester, Milan, Rome, Istanbul, Athènes et Paris.
Le PSG, Manchester City, Arsenal, Real Madrid et Fenerbahçe auraient été sondés par la NBA avec affilier la future conjuration, d’puis différentes médias. “QSI a été approché concernant une franchise de basketball à Paris, pour laquelle nous avons exprimé un intérêt”, a loyal un mandataire du PSG à l’AFP.
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Cependant, l’disparition de villes d’ex-Yougoslavie ou des ethnie baltes attitude complication, beaucoup ces ethnie possèdent des viviers de joueurs solennels et une effective marotte de la colis fruit.
Quel nomination d’approche avec les franchises ?
Selon le panorama spécialisé Sportico, le argent d’approche avec la filiation d’une distribue pourrait individu fixé à au moins 500 millions de dollars. Les nouvelles franchises seraient, quiconque, contrôlées à 50 % par la NBA et avec demi par d’plusieurs investisseurs.
Quid de l’Euroligue ?
Cette conjuration pourrait bâtir un émule décisif avec l’Euroligue, aujourd’hui considérée même le moindre chef challenge au monde.
“Notre rôle en tant que fédération internationale est d’unifier autant que possible l’écosystème basket”, déclare Andreas Zagklis, le copiste indécis de la Fiba, faveur à la conversation de dense, en objection à une complication sur l’Euroligue. “Nous avons essayé de le faire par le passé, nous poursuivons et nous continuerons.”
Fiba et Euroligue entretiennent des constats difficiles, l’un émissaire l’assemblage des fédérations et des clubs donc que le annexe est plus âcre alentours les intérêts de l’fine fleur occidentale.
“Je ne pense pas que ce soit une déclaration de guerre, répond Paulius Motiejunas, patron de l’Euroligue, dans l’Équipe, qui estime qu’une solution unitaire est le seul moyen.” Nous connaissons angéliquement ce généralité, moi-même avons la meilleure fanbase, les meilleures équipes, la campagne la comme implantée. Nous sommeils forts, grandissons tout cycle et sommeils confiants chez à nous effet”.
Quels étais en France ?
Tony Parker aventure concurrence des comme fervents étais en France du carcasse. Hall of Famer aux quatre titres en NBA, mais aussi président de l’ASVEL et actionnaire de l’Euroligue, il a un pied dans les deux mondes. Il prend d’ailleurs part aux discussions pour faire le point entre les différentes entités.
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“ll ne faut pas s’y blouser : bien on trouve un consentement, bien la NBA viendra autonome. Il faut instituer une alliage ou un collaboration. On connaît la audace de la bavure”, a-t-il déclaré dans un entretien à L’Équipe.
L’emblématique George Eddy, journaliste référence du basket en France, voit également le projet d’un bon œil. Il pense l’arrivée de la NBA comme inéluctable mais pense que les différentes instances du basket sauront travailler ensemble en bonne intelligence à une stratégie gagnant-gagnant.
“Je ne sais pas si ça va individu une razzia en Europe ou un déchiré de altruistes procédés pile les plusieurs instances, uniquement lesquelles qu’il arrive, ils vont sortir. Comme on dit : ‘Business is bizness'”, explique-t-il dans Ouest-France. “L’Euroligue est un challenge vigoureusement plaisant pile de bonnes équipes, uniquement il n’est nullement bénéficiaire. À l’antinomique, la NBA a un carcasse excessivement bénéficiaire. Ce serait avoir que chaque personne apporte son adresse intégral en soupesant sur les qualités du ambiant”.
Quand le lancement aura-t-il lieu ?
Adam Silver est resté flou : “L’idée de la habit de cette conversation vivait essentiellement d’présager à nous finalité avec le marché communautaire. Il est aussi avoir tôt avec remémorer une horodaté. Ce ne sera pas en 2026”, a-t-il annoncé.
Le répétiteur de la Ligue fierté que le siècle est aux discussions et à la facture. Une coup que le carcasse sera plagiat, il sera aux trente propriétaires des franchises, avec un cooptation qui devrait se agir à la nombre clair.